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vendredi 18 juin 2010

Dire que Carolis parle encore d'exemplarité....ça patauge grave à France Télévisions

La direction a remis en séance du CCE le 14 juin 2010 un document appelé : "projet accord d'interessement France Télévisions SA".

La direction a fait pression sur les élus pour qu'il valident ce texte qu'elle présentait pour la première fois, ce jour là et qu'ils découvraient, indiquant "ne pas avoir eu de retour de la Tutelle avant."

Il serait curieux que la Tutelle ait laissé passer, non seulement les nombreuses coquilles du texte mais plus insensé des références à des articles du Code du travail qui n'existent plus depuis 2 ans et un mois.

L'article L.441-3 n'existe plus depuis le 1er mai 2008...cela fait juste 2 ans passés. Dans le Code du travail il est divisé en 4 nouveaux articles: L.3313-2, L.3314-9, L.3312-7 et L3312-1.

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jeudi 17 juin 2010

Carolis voudrait sauver la face à tout prix et faire croire à une reprise des négociations…en vain !

Carolis voudrait sauver la face à tout prix et faire croire à une reprise des négociations…en vain !

Depuis le 3 juin date à laquelle la cour d’Appel de Paris donné raison aux 3 syndicats appelants, le SNPCA-CGC, la CFDT et le SNJ sur le fait que France Télévisions ait bien été adhérente de l’association des employeurs de l’audiovisuel public et de facto, était tenue de respecter les délais de survivance des conventions collectives, entre autres octobre 2012 pour celle des personnels techniques, administratifs et de production, la direction a été contrainte de signer la reconduction de tous accords en vigueur dans le groupe.

Après quasiment 13 mois de « réunionite aigüe » et la présentation du premier document par la direction à la mi janvier 2010 seulement, au début juin, moins de 20 pages sur environ 400 que comptent les conventions et avenants, avaient été abordées.

Malgré cela le tandem CGT/FO qui a signé quasiment tous les accords présentés par la direction depuis plusieurs années, prévoyait de signer un texte dit de « substitution », rebaptisé «transition » par la CGT.

Depuis donc cette claque aux trois acolytes défaits, ces derniers voudraient maintenant faire croire qu’à partir du 16 juin, les négociations reprennent à France Télévisions sur le nouveau texte conventionnel. C’est totalement faux.

La direction ne négocie rien du tout….totalement discréditée, elle n’est plus en mesure de le faire.

Tout juste se contente-t-elle de donner des dates pour d’illusoires signatures d’accords (intéressement, notamment) dont elle prétend qu’ils devraient être conclus avant le 30 juin 2010.
Encore un baratin de plus. Pour mémoire, cette même direction aux abois, a prétendu pendant des mois qu’après le 7 juin, il ne resterait plus rien que le Code du travail, la Convention nationale étendue des journalistes et l’accord France TV SA. Chacun a pu juger du bobard.

Il n’y a donc aucune reprise de négociation contrairement à ce que Jean-François Téaldi pour la CGT et la direction voudraient faire croire.

La direction se contente du reste de reprendre ses habituelles intimidations et son éternel chantage avec un accord sur les Instances Représentatives du Personnel (IRP) dont la date butoir pour y adhérer a déjà été repoussée.

« Si vous ne signez pas cet accord, il n’y aura rien après…nous ne négocierons rien d’autres ». Un argument que seule la CGT fidèle alliée de la direction, semble entendre.

Une fois encore, la CGT se dit prête à signer. Cela n’étonnera personne.

Pourquoi aller signer avec cette direction qui a clairement choisi de privilégier un camp contre une large majorité de syndicats; direction hautaine, méprisante et qui sait bien que dans les jours qui viennent ne sera plus là ?

Signer sur la répartition des IRP que propose la direction, c’est indirectement valider la réorganisation illégale puisque le CCE ne l’ayant jamais validé, ne serait-ce que dans son organigramme, elle ne peut officiellement se mettre en place et encore moins « se poursuivre ».

Pourquoi aller signer avec quoi que ce soit avec ceux qui ont tenté de spolier les salariés et alors même que dans quelques jours, le Président de la République va donner le nom du remplaçant de Carolis ?

Carolis, un bilan calamiteux sur fond de faux satisfecit

Le 15 juin 2010, le CSA publiait sur son site le communiqué suivant: "A la suite de la publication d’une dépêche de l’Agence France Presse relative à la situation de France Télévisions, le Conseil supérieur de l’audiovisuel précise qu’il n’a jamais examiné le document mentionné dans cette dépêche et qu’il ne s’est donc aucunement prononcé sur ce sujet. Ce document ne saurait engager le Conseil."

Le document dont parle le CSA est le soi-disant satisfecit dont la presse a parlé il y a quelques jours et qui n'a donc aucune existence puisque démenti par l'instance.

Le 8 février 2008, nous publiions un post intitulé: "Carolis - Un bilan tout en trompe l’œil…Après lui qui d’autre ? Lui, lui et encore lui" dont voici le lien http://medias-cgc.blogspot.com/2010/02/carolis-un-bilan-tout-en-trompe.html

Comment d'ailleurs le CSA aurait-il pu sortir quelques jours avant la nomination du futur président de France Télévisions par le Chef de l'Etat, un tel document?

Sachant comme le sait bien le CSA qu'en février 2010, le Sénat a lancé une mission de contrôle des comptes de France Télévisions afin de vérifier "l'adéquation du financement de France Télévision à ses moyens".
Que de plus, le Sénat dans un communiqué a réclamé "une transparence accrue sur les obligations du groupe, ses dépenses et les choix qu'il opère tant en matière éditoriale que sur les questions de média global, de ressources humaines ou de gestion financière".

Les membres du CSA, à la lecture de la dépêche AFP concernant donc un texte imaginaire du style "opération d'embellissement pour fin de mandat calamiteuse" avec une bonne dose de "forcer la main à au Président de la République", ont dû avoir les bras qui tombaient.

Cerise sur le gâteau, en octobre 2009, la Cour des comptes a présenté un rapport de 200 pages sur les très nombreuses lacunes, faiblesses et manquements de France Télévisions.

Parmi les phrases assez édifiantes de la Cour des comptes, se trouve celle-ci : "La clarification des objectifs de qualité et des critères de performances de la télévision publique est indispensable, si l’on veut donner au concept de service public télévisuel un contenu spécifique assorti de résultats démontrables, qui sont seuls susceptibles de justifier les coûts de la réforme".

Pour couronner le tout, Carolis lors du C.C.E du 14 juin 2010 qui s'est retrouvé tout seul devant les élus expliquant "j'ai longuement discuté avec le Président de la République, notamment s'agissant de mon bilan..." à la question de Marc Chauvelot sur sa redésignation "Président, êtes-vous confiant ? " a répondu " je ne vois pas pourquoi, je ne le serais pas" l

mardi 15 juin 2010

Le CSA dément avoir donné un quelconque satisfecit à Carolis... Encore une manip?

Lisez l'article paru sur l'express.fr: "Une ode à Carolis signée de l'AFP sème le trouble" paru le 15 juin 2010 par Renaud Revel

La publication par l’AFP d’une dépêche indiquant, document à l’appui, que le CSA dans un bel ensemble aurait accordé un satisfecit au PDG de France Télévisions, suscite depuis ce matin pas mal d’agitation. Cette ode à Patrick de Carolis tombe en effet étrangement à pic, alors que chacun s’attend à voir Nicolas Sarkozy désigner le prochain patron des chaînes publiques! A qui profite la manip’ ? Inutile de dire qu’au CSA la surprise est totale. Car ce qui n’était qu’un document de travail émanant des services du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, où chacun va de son rapport, est devenu, l’espace d’une dépêche de l’Agence France Presse, un avis solennel du CA.

Pas vu, pas lu: les membres de ce collège sont d’autant plus surpris que cette note n’a pas fait l’objet de la moindre délibération et encore moins, d’un quelconque texte approuvé en conclave. Au CSA, on s’interroge sur l’origine de ce qui ressemble à une opération destinée à enjoliver la fin de mandat de l’actuel patron des chaînes publiques. Une initiative mal habile et contre-productive qui intervient sur fond de nouveaux tiraillements entre l’Elysée et Patrick de Carolis, Nicolas Sarkozy s’étant agacé vendredi dernier, devant quelques journalistes conviés à un petit déjeuner, de l’empressement du PDG de France Télés à défendre bec et ongle son bilan et à postuler à un second mandat.


Le chef de l’Etat, qui s’est donné encore quelques jours avant de dévoiler le nom de l’heureux élu, n’a pas non plus digéré la prestation de Carolis sur le plateau du Grand Journal, la semaine passée. Une émission qui a vu l’intéressé répondre par un «Non !» tambourinant à la question, «Nicolas Sarkozy ferait-il un bon directeur des programmes?» Franc et culotté. Mais y avait-il une autre réponse que celle-ci?

lundi 14 juin 2010

NOUVELLE MAJORITÉ AU COMITÉ CENTRAL D’ENTREPRISE DE FTV: POUR EN FINIR AVEC LA STRATÉGIE DE L'ÉCHEC

Lisez le tract de l'iintersyndicale SNPCA-CGC, SNJ, CFDT et SUD intitulé "NOUVELLE MAJORITÉ AU COMITÉ CENTRAL D’ENTREPRISE - POUR EN FINIR AVEC LA STRATÉGIE DE L'ÉCHEC"

Jusqu’au bout, comme le veulent les salariés, nous avons voulu faire l’unité avec la CGT. Mais les derniers événements ont hélas montré l’incapacité de cette dernière à travailler en intersyndicale : rejet systématique de toutes les propositions d’ouverture des autres syndicats, refus de se joindre au préavis du 4 juin et à ceux qui l’ont précédé, désaccord profond sur le contenu et le déroulement de la renégociation des conventions collectives, attitude hégémonique au Comité Central d’Entreprise etc… Un constat qui nous amène aujourd’hui à constituer un nouveau bureau SNJ CFDT CGC SUD pour cette instance représentative du personnel de France Télévisions.

Bien sûr, ceux qui ont toujours refusé l'unité syndicale vont pousser des cris d'orfraie.

Bien sûr, les mêmes continueront de dénigrer ceux qui ont travaillé ensemble, dans l'entreprise et en justice, pour parer les mauvais coups de la direction, sur la réorganisation de l'entreprise et sur les textes conventionnels.

Bien sûr, face à la décision de l'intersyndicale de prendre en main les destinées du Comité Central d'Entreprise de FTV, la CGT joue la victimisation.

Pourtant, cette décision de changer le bureau du CCE est le résultat logique de l'échec complet de la stratégie de la CGT :
· Aux yeux de la direction, et dans ses écrits, dans les médias, et dans les faits, la CGT est le syndicat « partenaire objectif » qui a facilité la mise en place de l'entreprise unique France Télévisions. En votant un avis, même négatif, le 15 décembre 2009, la CGT a permis à la direction de lancer le rouleau compresseur. En exigeant plus d'informations, comme le proposait l'intersyndicale SNJ CFDT CGC SUD, la direction aurait été obligée de
prolonger les délais de concertation, de tenir davantage compte des intérêts des salariés, et au final de revoir au moins en partie son projet.

· Plus grave encore, la CGT s'est disqualifiée en annonçant qu'elle signerait le 7 juin « l'accord de substitution » à la convention collective des PTA et à l'avenant audiovisuel des Journalistes : Or, ce texte proposé par la direction de FTV était une régression sans précédent pour tous les salariés de France Télévisions. Pourtant, cette volonté de signer avait été rappelée par la CGT dans ses tracts... la veille même de la décision de justice qui reportait les délais de négociation au moins jusqu'en 2011 ! Pour mémoire, la même CGT ne faisait que railler le recours en justice intenté par le SNJ, la CFDT et la CGC sur ces délais de négociation.

Aujourd’hui, pour l’intersyndicale SNJ, CFDT, CGC, SUD, les objectifs du CCE sont clairs :

· L’emploi doit redevenir une priorité du CCE : vrai contrôle du plan de départs volontaires à la retraite et de leurs remplacements, transparence sur les mobilités géographiques et professionnelles. Face au manque criant de moyens humains, la direction doit se montrer responsable et embaucher !

· Partout où la désorganisation détériore les conditions de travail et la santé des salariés, la direction doit rendre des comptes (y compris devant la justice). Or, l’ancien bureau du CCE n’a rien fait en ce sens. La liste des points de blocage ne cesse pourtant de s’allonger : motion de défiance à RFO Malakoff (Agence) et à la rédaction nationale de France 3, restructuration calamiteuse des services administratifs et des antennes, déménagements intempestifs de locaux et de services etc…

· La direction doit expliquer son projet économique sur le Global média, les Web TV et les nouveaux supports : quels impacts sur les métiers, quels emplois, quel financement ? Il est incohérent de renégocier les conventions collectives sans connaître les intentions de la direction sur ces points.

· Le projet TNT outre-mer : quel contenu pour les « Télés Pays », quelles conséquences pour les programmes et pour les emplois ?
Pour mener une politique différente au CCE, dans une nouvelle et large union, il était donc nécessaire de mettre fin à la stratégie de l'échec de l'ancien bureau. Nous voulons des réponses aux questions légitimes de tous les salariés et nous mettrons tout en oeuvre pour les obtenir. Là encore devant la justice s’il le faut.








Le CCE de France Télévisions récupère sa majorité plurielle et va enfin pouvoir fonctionner normalement.

Le CCE de France Télévisions récupère sa majorité plurielle et va enfin pouvoir fonctionner normalement.

Cela faisait des mois que cela durait; la CGT verrouillait tout au Comité Central d’Entreprise de France Télévisions de la façon la plus hégémonique qui soit. Le syndicat avait, entre autres modifié le règlement intérieur à son avantage, pris la présidence de toutes les commissions, imposé son cabinet « conseil » Sécafi Alpha et fait barrage à tout vote ou toute procédure contre la direction et cerise sur le gâteau, avait en rendant un avis le 15 décembre 2009 donné le coup d’envoi à la pseudo réorganisation de Carolis.
Tout cela également rendu possible par l’accord de méthodologie signé par le duo CGT/FO.

Aujourd’hui, la CGT ne pouvant compter au CCE sur le soutien de FO qui ne dispose d’aucun élu dans l’instance, vient enfin d’être mise en minorité après la demande, il y a pourtant près de deux mois, d’un CCE extraordinaire par 11 élus titulaires sur 20.

Petit détail en passant, chacun aura compris, que la direction a tout mis en œuvre pour que ce CCE extraordinaire ne puisse avoir lieu ; alors que pour dégager la précédente majorité plurielle du CCE (SNPCA- CGC, CFDT, SNJ et SUD) et installer ses soutiens de la CGT (pour un long moment, le pensait-elle), elle avait tout bouclé en moins de 3 jours.

Ce 14 juin 2010 au matin, le Comité Central d’Entreprise de France Télévisions a enfin basculé. C’est une nouvelle victoire pour les salariés après celle obtenue par les 3 syndicats : SNPCA-CGC, CFDT et SNJ devant la Cour d’Appel de Paris qui a confirmé les délais de survivance des conventions collectives, octobre 2012 pour les PTA.

Le nouveau bureau est désormais le suivant :

- Secrétaire du CCE: Gilbert Barnabot (CFDT, RFO)
- Secrétaires adjoints: Dominique Dumont (SNJ, France 3) et Salim Larfa (CGC, France 2)
- Trésorier: Salim Larfa (CGC, France 2)
- Trésoriers adjoints: Jean Lemesle Corneille (SUD, France 3), Dominique Ferré (Secrétaire du CE France 5)

Le nouveau bureau a immédiatement fait voter le remplacement du cabinet Sécafi Alpha par le cabinet Sextant. (un élu CGT de France 3 ayant réclamé que l’ordre du jour soit scrupuleusement respecté, ce même élu qui en séance, juste avant, avait demandé à la direction si elle ne souhaitait voter le bureau).

Enfin, s’agissant des commissions, les commissions « économique », « emploi/formation », « logement » et « égalité professionnelle » sont respectivement présidées par le SNJ, SUD, CFDT et CFDT. Les commissions facultatives « nouvelles technologies » et « TNT Outre-Mer » respectivement SNJ et CFDT. Il resterait 4 commissions à pourvoir « Antenne-Global média », « Production/Fabrication et Utilisation des moyens internes », « application du Cahier des charges » et « Intermittents, pigistes, cachetiers, cdd, stagiaires » et une commission qui serait rajoutée « réorganisation ».

Voici la déclaration préalable du nouveau bureau

dimanche 13 juin 2010

Carolis sur le départ a encore le temps de faire du dégât...

Vendredi, alors que le Président de la République recevait quelques journalistes, la nomination imminente du président de France Télévisions a été abordée. Le chef de l'Etat n'a pas apprécié les déclarations de Patrick de Carolis au grand journal de Canal + , s'agissant de la campagne que le sortant mène vainement pour sa reconduction, il a ironisé : « Il voudrait que ce soit héréditaire… Mais ça ne se passe pas comme ça.»

Carolis va donc quitter le groupe France Télévisions dans les jours prochains. En attendant, il a encore le temps de faire du dégât. Il est en train avec sa sa soi-disant "réorganisation", de semer une pagaille sans nom....demandez à n'importe quel salarié s'il soutient le "fonctinnogramme Carolis" et vous verrez...ne lui demandez pas s'il la comprend et/ou la valide, le réponse à près de 95% il y a quelques mois était claire: NON.

Tout était fait, en réalité, pour que lui seul puisse poursuivre la "réforme" face à une situation rendue sciemment confuse. [éternel cliché du "comment se rendre indispensable"!]

Il est clair que la tentative de forcer la main au Chef de l'Etat en le moquant à chaque intervention, n'a aucune chance de marcher. Exit donc Carolis dont on verra par la suite que le bilan n'a rien à voir avec ce qu'il en dit.

Dans le court échange avec les journalistes, Nicolas Sarkozy a également évoqué le cas de Rémy Pflimlin, le patron de Presstalis "Il voit en cet Alsacien, un potentiel futur président d’Arte".

Quant à la date de la désignation du nouvel homme fort de la télévision publique, il se donne encore quelques jours avant de l'annoncer. S'agissant d'Alexandre Bompard dont le nom avait été "lancé" à dessein par certains, particulièrement par E. Beretta du Point.fr en tout premier lieu, il y a un mois et demi environ, si le Chef de l'Etat a simplement indiqué qu'il «avait le profil», il ne s’est pas étendu à son sujet.

Le nom du futur président de France Télévisions pourrait donc bien surprendre et déjouer comme il y a un an, les pronostics de la presse qui n'avait pas donné Jean-luc Hees dans la supposée "short-list" d'alors pour la présidence de Radio France.

Cette soi-disant "short-list" que publiait E. Beretta du Point.fr (encore lui) avec les 3 noms et dont tout le monde parle , pourrait finalement n'avoir jamais été d'actualité!