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mardi 20 septembre 2011

L’ensemble des « agences de notation média » dégrade lourdement la note de France Télévisions sous Rémy Pflimlin.

Plus aucun crédit pour Rémy Pflimlin…jusqu’à son ex entreprise la Société alsacienne de publications « L’Alsace » qui tire à boulet rouge sur son compagnon de région.

Mardi 13 septembre 2011, « L’Alsace » dénonce les errements de Rémy Pflimlin « les nouveaux programmes de France 3 conduits sous la présidence de Rémy Pflimlin ont un sérieux goût de réchauffé, sans compter qu'ils flirtent parfois de façon douteuse avec le créneau de la téléréalité »Et vive le retour d’Evelyne Thomas !

Et le journal d’enfoncer le clou : « France 3 vient de réaliser la plus faible part d'audience hebdomadaire moyenne (8,8%) de son histoire. Le tout pour une rentrée remplie de nouveautés. Rémy Pflimlin va encore perdre quelques cheveux… »

Et d’ajouter « Pour être clair rien ne va plus pour France 3. Les échecs de Midi en France, Thalassa ou de la nouvelle émission de Cyril Viguier font plonger l'audience hebdomadaire de la chaîne… »

Pflimlin qui vient de souffler sa première bougie anniversaire après un an aux « commandes » de la télé publique (le mot doit bien évidemment être mis en italique et entre guillemets tant il est loin de la réalité) est aujourd’hui décrié par tous.

La « feuille de route » de celui dont Guillaume Durand dit dans une interview à Télé Obs : « il obéit comme un préfet de province à qui on dit qu’il va y avoir une visite présidentielle ! » qui consiste à désorganiser l’entreprise (ça c’est réussi), amener les audiences au ras des pâquerettes (c’est aussi le cas) et laisser croire qu’on tient la barre à commencer par la Rédaction (ça c’est loin d’être la réalité) est à présent éventée.

Tout cela sur fond d’une plainte déposée pour délit de favoritisme et prise illégale d’intérêts, suite aux révélations du « Canard enchaîné » le 1er juin sur les millions dépensés dans le cadre de flopées de consultants extérieurs

La conclusion, c’est toujours « L’Alsace » qui la tire sur le rendez-vous manqué de Pflimlin avec les téléspectateurs et néanmoins contribuables que l’intéressé disait vouloir « placer au centre de son dispositif « c’est peut-être trop tard. »

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