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vendredi 29 juillet 2011

Murielle Charles-Beretti par qui le scandale arrive, tente de mouiller ses collègues en copie d’un mail hallucinant consacrant divers délits pénaux.

Murielle Charles-Beretti nommée par Patrice Papet « directrice déléguée aux relations sociales » qu'elle cite en permanence et qu’elle associe à toutes ses décisions comme donneur d’ordres, celle par qui le scandale arrive, tente de mouiller ses collègues en copie d’un mail hallucinant consacrant divers délits pénaux.

Suite au post du blog de la Fédération CGC média révélant le fait que la semaine dernière la direction de France Télévisions avait décidé unilatéralement de raser les locaux syndicaux, Murielle Charles-Beretti qui fait aujourd’hui l’unanimité contre elle, vient d’adresser aux syndicats un courrier hallucinant.

Murielle Charles-Beretti femme du pédégé d’Altédia et administratrice de Dialogues.com deux cabinets conseils sous contrat avec France Télévisions cités entre autres dans le long article du Canard enchaîné du 1er juin, non contente de consacrer dans son courrier divers délits relevant du Pénal, entend traiter les organisations syndicales qui ne lui reviennent pas pour des moins que rien.

Murielle Charles-Beretti devra à la rentrée, répondre devant la Justice sur les nombreux « incidents » (comme elle appelle cela) dont elle est à l’origine.

Le sachant, elle essaie peut-être, avec ce genre de propos non seulement de mouiller ses « collègues » pour laisser penser que cette décision était collégiale mais peut-être également de prouver qu’elle ne serait pas isolée !!!!

Quant aux délits qui font l’objet de plaintes au Pénal avec saisine du Procureur de la République, ils sont plus qu’édifiants :

- Vol,

- Violation de domicile et les dommages à la propriété simples,

- Entrave à la liberté d’action syndicale, etc…

-

Voila ce qu’écrit Murielle Charles-Beretti le jeudi 28 juillet 2011 à 10h 42 à plusieurs responsables syndicaux mouillant en copie les collègues suivants : Mautret Frederic; Dallet Humm Marie-Claire; Papet Patrice; Ajdari Martin; Pham Kim

HALLUCINANT :


En Objet, Murielle Charles-Beretti écrit : « Changement transitoire de bureaux »… C’est déjà du grand n’importe quoi.

La suite est cynique, invraisemblable, minable, lamentable, indécente, etc….il n’y aurait pas assez de qualificatifs pour dire combien les termes utilisés sont surréalistes.

M. B-C :

Bonjour,

Je vous prie de bien vouloir trouver, ci-dessous et ci-joint, copie du courrier que nous vous faisons parvenir ce jour.

"Monsieur,

Vous nous avez alertés par mail adressé à Monsieur Patrice Papet le 20 juillet, sur la disparition des locaux situés au 3ème étage de l'immeuble FTV rue Varet.

Tout d'abord permettez nous de bien vouloir nous excuser pour ce regrettable incident essentiellement dû à un manque de coordination de nos services du fait de la période estivale.

[Des bureaux tout d’abord forcés puis vidés de leur contenu et enfin rasés, des propriétés privées comme autant d’ambassade violées et Murielle Charles-Beretti qualifie cela: « regrettable incident qualifié de « Changement transitoire de bureaux » essentiellement dû à un manque de coordination de nos services du fait de la période estivale.] Elle ira raconter cela au juge ou à qui elle veut !!!

M. B-C poursuit :

« Comme vous le savez nous venons de renouveler le bail de l'immeuble de la rue Varet. Du fait de la pérennisation de notre présence sur place nous avons décidé de rénover ces locaux qui en ont bien besoin.

[Le renouvellement du bail justifierait donc les violations pénales et surtout la mise à sac des locaux syndicaux…et la rénovation de ces derniers dont personne n’a jamais été averti et pour laquelle jamais personne, non plus, n’a été sollicité tout, serait donc suffisant à dédouaner la direction des chefs de violation de domicile et dommages à la propriété ?!]

Et ça continue :

M. B-C : « Ces locaux étaient dévolus aux coordonnateurs syndicaux du groupe FTV ce qui nous amène à vous préciser que suite aux dernières élections, la représentativité syndicale a changé et la CGC n'est plus représentative au niveau du Groupe. »

[Là c’est le summum, Murielle Charles-Beretti a le culot d’écrire qu’une soi-disant perte de représentativité, permettrait à la direction de rentrer avec effraction chez vous, tout en sortir et raser le lieu?!!! Elle devrait relire le Code du travail comme le Code Pénal et surtout se renseigner sur les derniers arrêts de la Cour de Cassation sur les locaux syndicaux des syndicats, soi-disant, non représentatifs]

Nous vous faisons parvenir un courrier aujourd'hui précisant l'impact de ces résultats électoraux sur la désignation des coordonnateurs et les moyens associés. Cependant, il est clair que l’incident est sans rapport avec cette question et d’ailleurs nous vous indiquons que la solution transitoire concernant les bureaux, appliquée aux organisations syndicales représentatives, vous est appliquée également jusqu'à la fin des travaux.

Notre volonté était d'informer l'ensemble des organisations syndicales par courrier que nous allions procéder à des travaux de rénovation, travaux nécessitant que les personnes concernées quittent ces bureaux le temps nécessaire à cette rénovation, courriers dans lesquels nous expliquions également la procédure pour faire suivre les documents.

Malheureusement les courriers en question du fait des vacances ne sont pas partis à temps alors qu'en parallèle les travaux ont été lancés par les services concernés.

C'est la raison pour laquelle vos bureaux et ceux des autres coordonnateurs ont fait l'objet des travaux que vous avez constatés. Nous tenons à vous informer que les services généraux qui ont procédé au déménagement n'ont trouvé aucune armoire ni aucun bureau fermé. C'est la raison pour laquelle, il a été procédé à la mise en carton des documents de ces armoires et que l’ensemble de vos documents ont été mis en sécurité dans un local fermé.

[Mensonges que tout cela. Il y a quelques semaines encore, Murielle Charles-Beretti indiquait devant plusieurs témoins que « ce n’est pas parce qu’il y a les vacances que l’entreprise doit s’arrêter de tourner (citation) »…Alors l’argument sur les courriers en question du fait des vacances qui ne seraient pas partis à temps du fait de la période estivale alors qu'en parallèle les étaient lancés par les services concernés. DU BARRATIN.

D’ailleurs, des courriers pour aviser de soi-disant travaux de rénovations, ne justifient en rien, combien de fois faudra-t-il le répéter, que l’on rase des locaux en y entrant par effraction !!!!!

M. B-C en termine :

« Nous sommes sincèrement désolés pour cet incident, d'autant plus que ce courrier vous expliquait la solution que nous avions retenue le temps des travaux. Durant la durée des travaux, il a en effet été décidé d'installer une salle de réunion dédiée à la négociation et aux réunions avec les instances au 5° étage du bâtiment dit du Ponant, afin d'assurer la continuité des négociations.

[Quel courrier expliquant la solution ? Pourquoi puisqu’il était prêt l’évoquer et ne pas le joindre ?]

Les bureaux situés au même étage sur le plan étaient dans ce contexte destinés à devenir des locaux transitoires pour les coordonnateurs (tels qu'ils auront été désignés de fait de la nouvelle représentativité suite aux dernières élections), le temps que les travaux à Varet soient menés à leur terme.

Nous sommes certains que présentée en temps et en heure, cette solution aurait répondu à vos attentes.

Sollicitant à nouveau votre compréhension pour cet incident que nous déplorons, et confiants néanmoins que la solution transitoire que nous vous proposons au Ponant vous conviendra, nous vous engageons à prendre contact avec Monsieur Julien Saillard afin de récupérer les cartons du bureau de la CGC si vous le souhaitez.

Bien cordialement,"

Que Murielle Charles-Beretti garde sa provoc et ses "Bien cordialement" pour elle, qu’elle garde ses pseudos explications qui ne trompent personne pour ses collègues qu’elle mouille avec elle, qu’elle garde ses larmes de crocodile pour celui qu’elle ne manque pas de citer constamment Patrice Papet, nous et les autres syndicats concernés n’en voulons pas. Elle n’est pas et ne peut plus être une interlocutrice en matière de dialogue social qu’elle piétine constamment.

En conclusion, ne soyez jamais locataire de Murielle Charles-Beretti ; voila ce que cela donnerait : « Monsieur, Comme vous le savez nous venons de renouveler le bail de l'immeuble. S’agissant de la disparition des locaux situés au 3ème étage de celui-ci où vous étiez et qui ont été rasés, ils l’ont été parce que nous avons décidé de les rénover [SANS VOTRE ACCORD] car ils en avaient bien besoin. De toute façon, vous votre bail arrivait à expiration [vous n’étiez plus représentatifs dans l’immeuble] nous sommes donc rentrés chez vous, que cela vous plaise ou non, nous avons fait vos cartons que vous pourrez récupérer si vous le souhaitez. Enfin, il n’y a là pas matière à discuter puisqu’on vous dit qu’il s’agit d’un regrettable incident essentiellement dû à un manque de coordination du fait de la période estivale. »

Lettre réponse de l'Inspection du travail après la destruction des locaux syndicaux



mercredi 27 juillet 2011

Lisez la dépêche AFP du 27/07/11 sur la "Déontologie de la vie publique".. Une indispensable lecture pour France Télé visé par une plainte au Pénal.

Conflits d'intérêts : Bientôt une Autorité de la déontologie de la vie publique

Par Anne-Sophie LABADIE

"PARIS, 27 juil 2011 (AFP) - Le projet de loi sur la prévention des conflits d'intérêts, présenté mercredi en Conseil des ministres, prévoit la création d'une autorité indépendante de déontologie et concrétise une promesse de Nicolas Sarkozy lancée après les remous de l'affaire Woerth-Bettencourt.

Le texte sera soumis au Parlement "à l'automne", a annoncé la porte-paroledu gouvernement Valérie Pécresse, soulignant "la volonté du gouvernement de promouvoir une République irréprochable".

Ce projet de loi présenté par François Sauvadet, ministre de la Fonction publique, présente le conflit d'intérêts comme "une situation dans laquelle la probité ou l'impartialité de la personne intéressée pourrait être mise en doute".

Il entend définir "les principes fondamentaux qui doivent guider l'action des personnes dépositaires de l'autorité publique et celles chargées d'une mission de service public".

Le texte ne reprend pas la définition de la commission Sauvé, mise en place
par Nicolas Sarkozy, qui "cherchait à définir a priori et de manière limitative les cas de conflits d'intérêts", selon les termes du projet de loi.

Il reprend toutefois trois de ses propositions principales, la première étant la création d'une "Autorité de la déontologie de la vie publique".

Cette structure, qui remplacera la Commission de déontologie de la fonction publique et la Commission de déontologie des militaires, sera chargée "d'apporter son appui aux administrations et aux responsables et agents publics pour l'application des dispositions du projet de loi".

La saisine de cette instance administrative de 10 membres, nommés pour cinq ans par décret, sera obligatoire dans certains cas (par exemple, départ vers le privé des collaborateurs du président).

Le projet retient aussi l'obligation d'une déclaration d'intérêts lors de leur prise de fonctions pour les acteurs publics les plus exposés: membres du gouvernement et des cabinets ministériels, collaborateurs du président de la République, responsables les plus importants des trois fonctions publiques...

Le texte instaure par ailleurs un mécanisme d'abstention pour garantir que responsables et agents publics ne prennent pas part au traitement d'une affaire s'ils risquent d'être en situation de partialité.

La question des conflits d'intérêts avait ressurgi avec l'affaire Woerth-Bettencourt à l'été 2010 : Eric Woerth avait été mis en cause pour cumuler les fonctions de ministre (Budget puis Travail) et de trésorier de l'UMP, et parce que son épouse avait été embauchée par une société gérant la fortune de la milliardaire Liliane Bettencourt.

Un ouvrage de Martin Hirsch épinglant des membres de la majorité comme Jean-François Copé et Gérard Longuet, tout comme l'affaire Pérol, cet ancien conseiller de l'Elysée parachuté à la tête du groupe Banque populaire-Caisse d'Epargne, avaient placé la question de l'impartialité de l'Etat au cœur du débat.

Sans attendre la loi, ministres et parlementaires ont fait ces derniers mois quelques pas vers plus de transparence.

Fin avril, les ministres ont ainsi chacun publié une déclaration sur l'honneur concernant leurs placements financiers, leur passé professionnel et les fonctions occupées lors des trois années précédant leur entrée au gouvernement.

En mai, les sénateurs avaient décidé de souscrire à une déclaration d'intérêts et d'instaurer une autorité de déontologie interne, alors que début avril, l'Assemblée nationale décidait de se doter d'un "déontologue".

Le dispositif est complété par un projet de loi organique pour permettre son application "aux magistrats exerçant les plus hautes responsabilités", comme ceux de la Cour de cassation."

Lettre à l'Inspection du travail suite à la mise à sac des locaux syndicaux (photos à l'appui)

Monsieur l’Inspecteur,

Notre organisation syndicale vous saisit officiellement par la présente d’une situation jamais vue encore à France Télévisions. En effet, la direction de France Télévisions qui a signé un accord avec les organisations syndicales portant entre autres « les moyens qui leur était accordés» ainsi que le rôle des « coordonnateurs syndicaux », vient de raser sans le moindre avis, ni la moindre acceptation les locaux dévolus aux syndicats et à l’exercice de leur mandat.

En effet, au titre des différentes réunions intervenues ces derniers mois, des locaux syndicaux avaient été mis à disposition des organisations syndicales au 3ème étage dans un bâtiment annexe de France Télévisions, rue Varet, où nombres de réunions de « négociations » avaient du reste eu lieu.

Les organisations syndicales de l’entreprise y avaient donc juridiquement élu domicile.

Au milieu de la 29ème semaine calendaire, quelle ne fut pas la surprise de plusieurs syndicalistes se rendant dans leur local pour y récupérer des documents qu’ils y avaient laissés, de découvrir que le 3ème étage du bâtiment rue Varet, avait été littéralement rasé.

Et le mot « rasé » est faible…les bureaux syndicaux avaient disparu, les cloisons avaient été abattues et le mobilier volatilisé. (jusqu’à la moquette arrachée)

Des armoires dont certaines étaient fermées à clef contenaient des dossiers et/ou autres éléments de valeur. Personne ne savait où tout cela était passé.

On avait l’impression que des bulldozers étaient entrés en action afin de détruire toute présence syndicale et raser les locaux dévolus aux coordonnateurs syndicaux avec tout ce qui s’y trouvait.

Il semble que la direction ait choisi de raser les locaux sur place pour y installer des locaux techniques et autres régies avec de dispendieuses dépenses pour ce faire mais sans pour autant en avertir les syndicats. (selon les bruits qui nous sont rapportés mais sans que nous ayons aucune réelle information à ce sujet)

Toujours est-il que régie ou pas, consolidation ou pas, travaux ou pas, RIEN NE JUSTIFIAIT LA VIOLATION PAR EFFRACTION DES LOCAUX SYNDICAUX.

Il est clair que de telles pratiques sont inacceptables.

Les locaux syndicaux attribués par la direction où les syndicats au sens juridique du terme « élisent domicile » sont des lieux où la confidentialité et la notion de jouissance du lieu (qu’il s’agisse de matériels et/ou des documents) doivent être impérativement être respectées.

Il est, dès lors impensable qu’une direction se permette unilatéralement de décider, non seulement de forcer sans autorisation les locaux des dits syndicats, d’en sortir les documents, matériels et autres équipements qui sont leurs possessions sans que cela ne soit constitutif d’un délit.

C’est pourquoi nous vous sollicitons, Monsieur l’Inspecteur, pour que vous interveniez dans ce dossier le plus formellement qui soit ; cette démarche n’occultant en rien l’intention qui est la nôtre de saisir Monsieur le Procureur de la République et de porter plainte.

Dans l’attente de vous lire, nous vous adressons, Monsieur l’Inspecteur, nos salutations les meilleures.


















mardi 26 juillet 2011

Le SNPCA-CGC a saisi le procureur de la République pour vol avec effraction intervenus contre les locaux syndicaux de FTV

Le SNPCA-CFE-CGC a l’honneur de porter à votre connaissance les faits suivants :

AFF. : Plainte France Télévisions,

Lettre simple assortie d’un envoi en recommandé AR (2C 053 121 5930 9)

Monsieur le Procureur de la République,

Le SNPCA-CFE-CGC, a l’honneur de porter à votre connaissance les faits suivants :

La direction de France Télévisions a signé un accord avec les organisations syndicales portant entre autres « les moyens qui leur était accordés» ainsi que le rôle des « coordonnateurs syndicaux ».

A ce titre des locaux syndicaux avaient été mis à disposition des organisations syndicales au 3ème étage dans un bâtiment annexe de France Télévisions, rue Varet, où nombres de réunions de « négociations » avaient du reste eu lieu.

Les organisations syndicales de l’entreprise y avaient donc juridiquement élu domicile.

Au milieu de la 29ème semaine calendaire, quelle ne fut pas la surprise de plusieurs syndicalistes se rendant dans leur local pour y récupérer des documents qu’ils y avaient laissés, de découvrir que le 3ème étage du bâtiment rue Varet, avait été littéralement rasé.

Et le mot « rasé » est faible…les bureaux syndicaux avaient disparu, les cloisons avaient été abattues et le mobilier volatilisé. (jusqu’à la moquette arrachée)

Des armoires dont certaines étaient fermées à clef contenaient des dossiers et/ou autres éléments de valeur. Personne ne savait où tout cela était passé.

On avait l’impression que des bulldozers étaient entrés en action afin de détruire toute présence syndicale et raser les locaux dévolus aux coordonnateurs syndicaux avec tout ce qui s’y trouvait.

Il semble que la direction ait choisi de raser les locaux sur place pour y installer des locaux techniques et autres régies avec de dispendieuses dépenses pour ce faire mais sans pour autant en avertir les syndicats. (Il faudrait entreprendre de lourds et couteux travaux pour consolider par exemple les sols des bureaux qui ne sont pas prévus pour le poids des tonnes de matériel de « régies »).

Toujours est-il que régie ou pas, consolidation ou pas, travaux ou pas, RIEN NE JUSTIFIAIT LA VIOLATION PAR EFFRACTION DES LOCAUX SYNDICAUX.

Il est clair que de telles pratiques sont inacceptables.

1°) Le vol avec effraction se compose de plusieurs infractions. Il réunit les éléments constitutifs du vol, de la violation de domicile et, la plupart du temps, des dommages à la propriété.

Le vol et les dommages à la propriété peuvent être simples ou qualifiés. Par ailleurs, le vol étant une infraction poursuivie d'office; les dommages à la propriété et la violation de domicile sont uniquement poursuivis sur plainte, bien que les formes qualifiées des dommages à la propriété soient poursuivies d'office.

La violation de domicile et les dommages à la propriété simples doivent être également poursuivis.

2°) Le droit actuel prévoit diverses fourchettes des peines pour le vol. Le vol simple est passible d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire (art. 139 ch. 1 Code Pénal).

La peine pour la violation de domicile est une peine privative de liberté de trois ans au plus ou une peine pécuniaire (art. 186 Code Pénal); idem pour les dommages à la propriété (art. 144 al. 1 CP). Si le dommage est considérable, le juge peut prononcer une peine privative de liberté de un à cinq ans (art. 144 al. 3 CP).

Enfin, le délit d’entrave qui est directement destiné à protéger l’exercice de la représentation syndicale, est constitué par le simple fait d'entraver ou de porter atteinte, de quelque manière que ce soit (par action ou par omission), à la constitution d'une instance représentative du personnel mais aussi à ses prérogatives ou encore, à son fonctionnement.

Le délit d'entrave incrimine une violation des règles dont le respect s'impose à l'employeur. Quiconque aura porté ou tenté de porter atteinte à une instance représentative, et dans cela c’est l’employeur qui est visé directement, sera le responsable sauf en cas de délégation de pouvoir. L’action contre l’employeur faisant l’objet d’une plainte sera donc évoquée devant le tribunal correctionnel.

C’est pourquoi le SNPCA-CFE-CGC CFE dépose plainte entre vos mains pour les infractions de vol, dommages à la propriété et la violation de domicile, développés précédemment ainsi que de délit d’entrave dans l’atteinte caractérisée à l'exercice du droit syndical, infractions prévues et sanctionnées selon les articles du Code Pénal à l’encontre de :

- la Société France Télévisions sise 7, esplanade Henri de France – 75907 PARIS cedex 15;

- Monsieur Rémy PFLIMLIN en tant que Président Directeur Général de la Société France Télévisions, domicilié au siège de la Société;

- et à l’encontre de tout autre personne que l’enquête identifiera.

lundi 25 juillet 2011

Bruno Patino le « lieutenant interactif » de Rémy Pflimlin étoffe à France Télévisions son annexe de « Sciences Po » et du « Monde.fr ».

Les salariés des services interactifs de France Télévisions sont, depuis près d’un an, traités comme des moins que rien. Un peu comme si avant l’arrivée du « messie numérique » à France Télévisions pendant une décennie, il ne s’était rien passé !!!!! Comme si les journalistes et autres collaborateurs du secteur n’avaient jamais réellement existé et surtout quasiment jamais travaillé !

Dernier exemple en date, Olivier Lendresse, bras armé de Bruno Patino transfuge du « monde.fr »
où il s’occupait notamment du développement de « lepost.fr » (dépendant donc du "monde.fr") recruté depuis mars 2011 « directeur de projet » par son ex collègue donc. Quel est son statut ? Apparemment il aurait un contrat d’intervenant…il serait chargé de « la construction du site web FTV » et entre autres « missions », il est supposé recevoir les journalistes du secteur interactif et leur signifier leur affectation.

- Olivier Lendresse mais aussi Jean-François Fogel, Thibaud Vuitton, Thomas Doduik, Laurent Suply donnent tous des cours à Sciences Po avec leur copain Bruno Patino entre autres l’atelier de « Perfectionnement numérique » où il est question de «séances d’approfondissement de culture numérique ».
- Jean-François Fogel, voila un autre copain de Bruno Patino ; il a coécrit avec lui un livre intitulé « Une presse sans Gutenberg ». Et Jean-François Fogel, il a lui aussi été embauché comme « consultant » par Bruno Patino. Quelle est sa mission, quel est son contrat, quelle est sa durée ? Personne ne le sait vraiment…ce que tout le monde sait maintenant, c’est qu’après l’affaire des « consultants extérieurs » révélée début juin par le « Canard enchaîné » les appels d’offres impératifs pour toute entreprise publique, garants de la bonne utilisation des deniers publics, n’ont quasiment jamais été respectés. Tout le monde attend donc avec impatience, l’appel d’offre auquel a répondu l’enseignant de Science Po!

- Eric Scherer est aussi de la partie. Lui aussi « enseignant à Sciences Po » avec Jean-François Fogel, Olivier Lendresse, Thibaud Vuitton et donc Bruno Patino, il a té recruté par ce dernier comme « directeur de la prospective, de la stratégie numérique et des relations internationales liées aux nouveaux médias à France Télévisions. »
Lorsque ce n’est pas Sciences Po, c’est « lemonde.fr ». Boris Razon, ex rédacteur en chef du « monde.fr », rejoignait les activités numériques de France Télévisions dirigées par Bruno Patino, ex-directeur du monde.fr. Il y est « responsable des nouvelles écritures Web et du transmédia. »
Il n’a pas été le seul transfuge du « monde.fr » à être embauché grâce à Bruno Patino sur France Télévision. Deux autres collaborateurs de la déclinaison web du quotidien, ont également gonflé les rangs de France Télévision : Célia Mériguet nommée « rédactrice en chef de la plate-forme en ligne d'informations en continu » ex rédactrice en chef au Monde.fr, elle aussi « enseignante à Sciences Po » avec juste en dessous en tant que « rédacteur en chef adjoint de la plate-forme en ligne d'informations en continu »,Thibaud Vuitton, ex chef d’édition au Monde.fr, lui aussi enseignant à Sciences Po.
A croire que Rémy Pflimlin et son « lieutenant numérique » Bruno Patino, ont fait de France Télévisions l’annexe de « Sciences Po » et du «Monde.fr ».

Dans quel état d’esprit croyez-vous que se trouvent les personnels ? Réponse, ils sont forcément amers, démotivés et dégouttés [on le serait à moins] de subir un tel mépris…
et après cela, Pflimlin, Papet et Patino diront encore « privilégier l’interne » !!!!!