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vendredi 12 octobre 2012

Pflimlin fait fuir les annonceurs publicitaires…ils se détournent de France Télévisions faute de visibilité sur les programmes.


Pflimlin fait fuir les annonceurs publicitaires…ils se détournent de France Télévisions faute de visibilité sur les programmes.

Ce matin, Villamitjana chargé des programmes toujours sous Réveillon et qui devait surement trouver la gamelle pas assez grande pour deux, a bien été obligé de confirmer deux changements de taille concernant la grille des programmes de France 2 dont il s’occupe après que Perrine Fontaine ait été viré de son poste de directrice des Programmes de France 2 et dont il a pris les fonctions: la suppression des émissions, « Roumanoff et les garçons » et « Volte Face »  qui selon lui n’auraient n'ont « pas réussi à trouver leur public » et afficheraient « des audiences en access prime time non satisfaisantes ». Visiblement, les scores d’audiences de programmes comme Touche pas à mon poste qui cartonne sur la D8 ex Direct 8 ou encore Vous êtes en direct sur NRJ dans cette case horaire, ont parlé !
Dire qu’il y a peu, il expliquait sur Europe 1 que certaines émissions comme la nouvelle émission culturelle présentée par Aida Thouiri "aurait plus de temps que décembre pour s’installer et y parvenir "... Apparemment  Anne Roumanoff et Nagui , ne peuvent pas en dire autant ! Anne Roumanoff dont l'émission d'Anne devait initialement s'arrêter en décembre 2012 part donc avec 2 mois d'avance.


Même punition concernant Nagui et son émission Volte Face, diffusée de 18h50 à 19h40, qui n’a réuni que 1,5 million de téléspectateurs en moyenne. Le seul bémol, c’est que son jeu Volte Face dont plusieurs émissions ont été tournées à l'avance, sera diffusé jusqu'au vendredi 2 novembre. A partir du lundi 5 novembre, c'est  N'oubliez pas les paroles - programmée, déprogrammée, reprogrammée - qui revient toujours avec Nagui.
Derrière ce qui pourrait passer pour une « plantade » de plus, le problème de fond qui pointe le bout de son nez en filigrane, c’est celui de la chute des recettes publicitaires.

Dans un document confidentiel que le blog CGC Média a révélé dans un article intitulé « Les contribuables vont payer, une nouvelle fois, la mauvaise gestion de Pflimlin comme le prouve un document confidentiel France Télé transmis aux Tutelles.» Pflimlin qui avait baladé l’actionnaire en faisant inscrire dans le COM qu’il lui a fait signer jusqu’en 2015 en y faisant inscrire des recettes publicitaires à hauteur de 425M€, ramène déjà ce chiffre à 358,5M€ en 2013.

Philippe Santini l’ex directeur général de la régie publicitaire lourdé par Pflimlin, il y a quelques semaines, dont Martine Martinel disait dans son rapport qu’on ne lui avait pas demandé son avis, doit en faire des bonds de 15 mètres.

Quant à ce nouveau chiffre de « 358,5M€ en 2013 » fixé par Pflimlin et le remplaçant de Santini, gageons qu’il ne sera pas atteints non plus.

La part du  « GRP  » [Initiales de Gross Rating Point : Indicateur de la pression publicitaire d’une campagne….] ne cesse de baisser.

Ainsi et alors que ce dernier trimestre est l’occasion pour les annonceurs d’investir ou non dans de nouvelles campagnes de pub, ayant à l’esprit le nombre de points de GRP à glaner en pénétration par rapport à leur cible (ça fait peut-être un peu charabia mais ça ne l’est pas…autrement dit combien de téléspectateurs et de catégorie de téléspectateurs, ils vont toucher), sont dans le flou le plus total.
Ils n’ont plus aucune visibilité sur les programmes à venir et sont donc bien en peine de savoir, au final, quels publics ils pourront toucher !!!

La plupart vont donc s’abstenir ou négocier des prix au plus bas faisant descendre encore plus les espérances de rentrées publicitaires.

Avec Pflimlin, le GRP devient le « Gros Ratage Publicitaire ».



Les contribuables vont payer, une nouvelle fois, la mauvaise gestion de Pflimlin comme le prouve un document confidentiel France Télé transmis aux Tutelles.


Les contribuables vont payer, une nouvelle fois, la mauvaise gestion de Pflimlin comme le prouve un document confidentiel France Télé transmis aux Tutelles.

Depuis plusieurs semaines maintenant, la distribution des journaux et des magazines nationaux est perturbée par des mouvements de grève chez Presstalis.

Pourquoi ces mouvements de grève, ces arrêts de travail, ces blocages de centres de distribution et de certaines imprimeries chez Presstalis (ex-NMPP) la filière de la distribution des journaux ? Pour s’opposer au plan de réduction des effectifs de Presstalis qui va supprimer 1.250 emplois quasiment la moitié des 2 500 postes du groupe.

Quel rapport avec France Télévisions et les contribuables ? Pflimlin …qui depuis 2010 a été nommé à France Télévisions par Nicolas Sarkozy après avoir laissé, justement, Presstalis qu’il a dirigé de 2006 jusqu’à son arrivée à FTV et qu’il a laissé en situation de quasi faillite.

Dès le 3juillet 2010, le blog CGC Média publiait un post intitulé « L’État met la main à la poche à hauteur de 11 millions d’euros pour sauver de la faillite Presstalis que dirige Remy Pflimlin depuis juillet 2006 » qui débutait ainsi: « Il faut sauver le "soldat Pflimlin"....11 millions des deniers des contribuables et une recapitalisation in extremis! »

A l’époque donc afin d’enjoliver un peu la nomination du sortant Rémy Pflimlin qui murmurait, à l’époque, à qui voulait l’entendre  « avec une telle ‘’ardoise’’ à Presstalis, je ne suis pas présidentiable »,  le Premier Ministre François Fillon et son Gouvernement  décidait de recapitaliser l’entreprise de distribution de Presse en raison de la situation de quasi faillite dans laquelle l’avait entraîné Rémy Pflimlin qui en avait la charge depuis 2006.

L’État allait donc sur un plan pluriannuel et ce en période de crise, injecter des millions des deniers des contribuables (par an et sur plusieurs années donc) pour une recapitalisation in extremis de l’entreprise! Parallèlement, le groupe Lagardère et les actionnaires, allaient faire le pendant, en remettant au pot, eux-aussi des millions d’euros (une trentaine) pour éviter que ne sombre totalement l’entreprise en état de dépôt de bilan virtuel, qui n’avait alors plus de trésorerie dont les fonds négatifs s’élevaient pour 2009 à 70 millions d’euros et qui lançait en prime un plan de départs volontaires visant 15% des effectifs.

BIS REPETITA PLACENT ...Le blog CGC Média dans un article du blog d’avril 2012, intitulé « France Télévisions en voie de Presstalisation ?! », soulignait les similitudes entre la situation chez Presstalis du temps de Pflimlin qui explose socialement aujourd’hui et celle de France Télévisions l’exact copié-collé.

Aujourd’hui, la situation catastrophique de FAILLITE laissée par Rémy Pflimlin dans laquelle se serait trouvée Presstalis (toujours au bord du redressement judiciaire) sans l’intervention de l’Etat et des actionnaires, s’est finalement transportée à France Télévisions.

Faillite morale, faillite d’audiences, faillite organisationnelle et de gouvernance mais surtout situation financière déficitaire pour 2011 avec des comptes pour France Télévisions SA dans le rouge et un résultat d’exploitation déficitaire de 42,3 M€ (plus proche de – 60M€ en réalité !), déficitaire à l’évidence pour 2012 dans des proportions similaires voire pires mais aussi déficitaire pour 2013 pouvant aller jusqu’à -100M€.


De tous ces sujets qui fâchent au plus haut point, Pflimlin et ses lieutenants, évitent soigneusement d’en parler aux Tutelles.

Pflimlin se contente de communiquer sur « la nécessaire participation à France Télé à l’effort de redressement des finances publiques dans la situation de crise actuelle »  et pour ce faire « sur la renégociation du COM qu’il a entrepris avec la Tutelle ».

Mais qui a pourtant signé le COM avec l’État sur la période  2011-2015, c’est bien PFLIMLIN ???

COM qu’il a allègrement violé sur deux chapitres, les prévisions de recettes publicitaires et l’explosion des E.T.P. (Equivalent Temps Plein) avec un niveau d'ETP moyen révélé par le Blog CGC Média en hausse de 193 de 2010 à 2011 (10.925 vs 10.732)  que Martin Ajdari confirmait bien involontairement dans son interview au Monde du 6.12.2011 (France Télévisions : l'entreprise unique en ordre de marche fin 2012), en indiquait que « le plan de départ avait touché 471 postes depuis 2009 ».

Le nombre d'ETP aurait donc du baisser entre 2009 et 2011 de minimum 471 ETP. Or, les ETP ont augmentés de 193, ce qui veut donc dire qu'il y a eu 193+471= 664 recrutements entre 2009 et 2011.

Avant même que l’État n’ait annoncé l’augmentation de la redevance de deux euros supplémentaires comme contribution à l'audiovisuel public (CAP, ex-redevance audiovisuelle), auxquels il faut ajouter de deux euros par l'inflation l'année prochaine donc 4€ au total, la direction de France Télévisions avait déjà acté cette dernière dans un document confidentiel particulièrement édifiant dont le contenu, en gros, correspond à l'Avenant au COM que le Ministère sous l'impulsion de l'équipe Pflimlin /Ajadari pourrait "promouvoir" !!!!!
Ce document le voici :
Tout d’abord, chacun aura noté par rapport au COM dont les prévisions budgétaires pour 2013 avaient été inscrites à 3.012 milliards d'euros,

Que le DIFFÉRENTIEL est de -200M€ puisque les prévisions 2013 "nouvelles" sont de à 2.812 milliards d'euros.

Il est clair, que ces -200M€ ne s'entendent que dans un contexte de maîtrise des dépenses, CE QUI N'EST PAS LE CAS, TOUTES LES CHARGES ONT EXPLOSÉ, il convient de le redire.

Autrement dit, si l'on additionne ces -200M€ au -42M€ de déficit 2012, on atteint quasiment -250M€...

Dès lors, le déficit de France Télévisions ne cesse de se creuser, année après année, depuis 2010 !

Les 4€ d’augmentation de redevance que l’Etat s’apprête à « appliquer » dont l’impact est évident sur le pouvoir d’achat de chaque français et que Pflimlin et ses très proches ont « engrangé » (1ère ligne du document) comme + 5,2% de subsides supplémentaires faisant  passer de  2.088 milliards d'euros le budget 2012 adoptés en C.A. à 2.197 milliards d'euros prévus en 2013, ne peuvent pas servir à effacer d’un coup de baguette magique la catastrophe industrielle dont ils sont responsables !!!!

Quand de surcroit,  le socialiste Patrick Bloche, président de la commission des Affaires culturelles de l'Assemblée mais également administrateur du CA de France Télé, dépose un amendement déjà approuvé semble-t-il par le groupe PS à l'Assemblée nationale mais qui doit encore passer devant la Commission des Finances en début de semaine prochaine, prévoyant  « L'augmentation de l'assiette de la redevance via les résidences secondaires, sous couvert d’un objectif de justice sociale », il convient de s’interroger.

Il n’y a rien de juste et encore moins de social donc rien qui représente là « un objectif de justice sociale » à faire imposer pour les résidences secondaires, une redevance certes réduite de  moitié par rapport à celle payée pour les résidences principales, qui atteindra 129 euros en France métropolitaine et 83 euros dans les départements d'Outre-mer en 2013 et qui pourrait représenter environ 164 millions d'euros pour l'audiovisuel public en 2013, avec une redevance de 64 euros pour les résidences secondaires en 2013 en métropole et de 41 euros dans les départements d'Outre-mer.
Autrement dit pour un français moyen qui a souvent hérité d’une maison de famille à la mort de ses parents et qu’il a gardé, une redevance de 129 + 64 = 193€ (initialement 125€ soit 54,4% de hausse) en France métropolitaine et 83 + 41 = 124€ dans les départements d'Outre-mer en 2013.

Quand, cerise sur le gâteau, l’ensemble des contribuables découvrira comme Philippe Santini l’ex directeur général de la régie publicitaire lourdé par Pflimlin, il y a quelques semaines, que dans ce document Pflimlin ramène les 425M€ « hypocrites et insincères » dixit Martine Martinel (qu’il a lui-même inscrits au COM) à 358,5M€ en 2013 qui de toute façon ne seront pas atteints, il ya de quoi tomber à la renverse.

Même si l’Etat comme France Télévisions  le présente dans son document, procède à une  baisse de la compensation de l'Etat pour la suppression de la pub (qui devrait être à zéro avec ce que Bruxelles devrait décider) et qui passe de 452 M€ à 256M€,  les contribuables ne sont pas là pour payer la mauvaise gestion de Pflimlin et de ses équipes !

Il n’est pas question de dédouaner Pflimlin et ses équipes, ni avec un fallacieux Avenant de circonstance au COM initialement signé, ni avec une augmentation de la redevance et son extension qui pèseront sur le pouvoir d’achat de tout un chacun, tout simplement pour refaire une énième « virginité » à Pflimlin en piochant dans les poches des contribuables comme du temps de Presstalis.

mercredi 10 octobre 2012

La lucidité sociale de Marie-Christine Saragosse…la CGC Média s’en félicite.



La lucidité sociale de Marie-Christine Saragosse…la CGC Média s’en félicite. 

-        Le 5 octobre 2012, le Président de la République nomme Marie-Christine Saragosse présidente-directrice générale de la société nationale de programme en charge de l’audiovisuel extérieur de la France ; 

-        Le 7 octobre, le décret paraît au JO ; 

-        Le 8 octobre à minuit est la date que la Cour d’Appel  saisie par les 3 appelants CFDT, SNJ, SNPCA-CGC dans le cadre de la dissolution de l’Association des employeurs, notamment RFI qui par fusion a intégré l’AEF et de la remise en cause des textes collectifs, a consacré comme délai de survie de la Convention Collective de l’Audiovisuel Public; 

-        Le 9 octobre à 0h 00’01’’ l’ensemble des salariés concernés étant donc en droit  de revendiquer sans texte de substitution les avantages individuels acquis depuis l’embauche qui deviennent dès lors partie intégrante du contrat de travail, Marie-Christine Saragosse décide de proroger les textes en vigueur jusqu’en 2013. 

L’AEF qui n’a été champion en matière de dialogue social, ces dernières années de l’ère Pouzilhac, c’est le moins que l’on puisse dire, avec cette décision de Marie-Christine Saragosse qu’il convient de relever, fait là preuve de sagesse, de lucidité et semble vouloir bien vouloir marquer le retour de la discussion loyale et sincère. 

mardi 9 octobre 2012

Papet l’apprenti pyromane promu par Pflimlin n°2 de France Télé, a mis le feu à tout l’Audiovisuel Public et fait tout pour attiser l’incendie.



Papet l’apprenti pyromane promu par Pflimlin n°2 de France Télé, a mis le feu à tout l’Audiovisuel Public et fait tout pour attiser l’incendie.

Lundi 8 octobre 2012, le blog CGC publiait un article très étayé intitulé: « La Convention Collective survivra à Patrice Papet dont l’échec est aujourd’hui manifeste ». Il y était principalement question du délai de survie de la Convention Collective de l’Audiovisuel Public fixé par la Cour d’Appel à cette date.

Il s’agissait bien pour la Cour d’Appel  saisie par les 3 appelants CFDT, SNJ, SNPCA-CGC, de consacrer dans le cadre de la dissolution de l’Association des employeurs et de la remise en cause des textes collectifs, le délai de survie conventionnel à l’issue du préavis, rien d’autre.

Force est de constater que ce titre était bien plus que prémonitoire. Hier donc, environ 15 minutes avant minuit, Papet s’en est donc presque tenu à  la déclaration qu’il avait adressée aux syndicats  le 6 septembre dernier :
à savoir « Sauf accord de substitution intervenu avant la date du 8 octobre 2012 23h59’59’’, la prorogation par la direction du 

- délai de survie de l’avenant audiovisuel à la convention collective nationale de travail des journalistes, pour les dispositions portant sur les thèmes non visés par l’accord collectif pour le personnel journaliste de FTV du 15 septembre 2011 et par les dispositions relatives au temps de travail contenues dans le projet de « socle commun », 

- délai de survie de la convention collective de la communication et de la production audiovisuelles pour les dispositions portant sur les thèmes non visés par les dispositions relatives à la nomenclature des métiers et des emplois PTA, la grille de classifications ainsi que la rémunération des PTA et sur les dispositions relatives au temps de travail contenues dans le projet de « socle commun », 

- délai de survie des accords collectifs d'entreprises et d'établissements en vigueur au sein des sociétés France 2, France 3, France 4, France 5, RFO et FTVI, à l’exception des accords qui ont ou auront cessé de produire leurs effets du fait de la conclusion des accords de substitution d'ores et déjà intervenue à la date du 8 octobre 2012 et des dispositions relatives au temps de travail contenues dans le projet de "socle commun» et des dispositions relatives à la nomenclature des métiers et des emplois PTA, la grille de classifications ainsi que la rémunération des PTA.

Aujourd’hui dans une propagande totalement mensongère (ce qui est presque un pléonasme) intitulée « Avancées significatives et poursuite des négociations sur l'accord collectif », la direction sous l’impulsion forcément de Papet qui n’est autre que le directeur général délégué à la communication interne, écrit aux salariés :

« Signature d'un accord de prorogation portant sur différents thèmes actuellement en cours de négociation.
La direction et les organisations syndicales représentatives de l’entreprise CFDT, FO et SNJ ont souhaité acter le lundi 8 octobre* « l’avancée significative des négociations portant sur le temps de travail, la classification et la rémunération des personnels techniques et administratifs (PTA) » ….

De quelle « avancée significative des négociations » parle Papet relayé par f.o. dans sa communication ????

S’agirait-il là de la même langue de bois qu’il est allé étaler à l’Assemblée Nationale en septembre et de l’enfumage habituel qu’il a réservé aux parlementaires ?

Lisez plutôt le boniment : « Nous sommes engagés dans des négociations importantes en vue d’élaborer les textes qui se substitueront aux anciennes conventions collectives de l’audiovisuel public…
S’agissant des journalistes, un accord a été signé voilà plus d’un an à propos des classifications, des salaires et des principes professionnels; pour les personnels techniques et administratifs, une échéance a été fixée au 8 octobre par décision de justice et nous souhaitons mener à terme des négociations, déjà très avancées, sur ces points essentiels que sont la rémunération, les classifications et les mesures communes relatives au temps de travail – nous avons d’ailleurs conclu une série d’accords partiels. »

MENSONGES BIEN ENTENDU quand il déclare « Le dialogue social est donc très intense », il l’a voulu au ras des pâquerettes voire inexistant à France Télé… MENSONGES ENCORE d’affirmer vouloir « mener à terme des négociations, déjà très avancées » Tu parles !!!! Si elles étaient si avancées pourquoi avoir prorogé ????

Papet n’ayant pas peur du ridicule, d’ajouter alors: « À la demande des syndicats, nous avons accepté de reporter jusqu’à la fin de l’année la discussion sur tout ce qui n’est pas rémunérations et classifications, de manière à parvenir à une harmonisation sur ces deux points, la date d’effet étant fixée au 1er janvier 2013.

Ces nouveaux accords collectifs auront un coût immédiat, du fait de cette harmonisation qui ne peut revenir sur les avantages individuels acquis. Néanmoins, comme ils seront – nous l’espérons en tout cas – plus adaptés à la situation actuelle, ils nous permettront de gagner en efficacité et en qualité, ce qui sera une source potentielle d’économies tout en ouvrant de nouvelles perspectives aux collaborateurs de France Télévisions et aux ex collaborateurs des différentes chaînes. »

Ce n’est pas à la demande des syndicats que les discussions se poursuivent et que les A.I.A. (avantages individuels acquis) dont parle Papet peuvent déjà être revendiqués puisque aucun accord de substitution n’a vu le jour, c’est parce Papet et ses acolytes ne sont parvenus à rien en plus de 2 ans de temps sauf à mettre une pagaille sans nom...La direction est entièrement responsable de ce fiasco!

Le pompon, c’est lorsque la direction conclut « Par la signature d’un accord de prorogation intervenu peu avant minuit, elles ont voulu se donner un temps supplémentaire afin de finaliser si possible avant le 30 octobre et au plus tard le 15 novembre 2012 l’accord sur la classification et la rémunération des PTA.

A défaut d’un accord à cette date, les dispositions sur la classification et la rémunération que la direction envisage d’appliquer de manière unilatérale ont été jointes en annexe à ce texte.

Les signataires ont également décidé de poursuivre jusqu’au 31 décembre 2012 les négociations sur les dispositions du temps de travail (évolutions et finalisation du relevé de conclusions du 15 février 2012* concernant les journalistes et les PTA et annexes relatives aux organisations particulières de travail) ainsi que celles sur les dispositions générales, le droit syndical, la couverture sociale, la discipline, etc.

Les textes en vigueur sur ces thèmes sont donc prorogés jusqu’à fin décembre 2012.3
Autrement dit,  
la convention collective de la communication et de la production audiovisuelles CCCPA, 
l’avenant audiovisuel à la convention collective nationale de travail des journalistes, des accords collectifs d'entreprises et d'établissements en vigueur au sein des sociétés France 2, France 3, France 4, France 5, RFO et FTVI, 
sont intégralement prorogés jusqu’au 31 décembre 2012.

Voila ce qu’a signé Papet pour la énième fois. Une nouvelle propagation pour Papet après plus de 2 ans passés avec ses deux acolytes Murielle Charles et Frédéric Mautret à menacer, mépriser, vilipender les représentants du personnel et les syndicats, piétiner et bafouer allègrement le dialogue social plutôt qu’à essayer de construire, qui cette fois-ci devrait être lourde de sens !!!!

Pourquoi ?  "Proroger" c'est maintenir JURIDIQUEMENT PARLANT une situation après la date à laquelle elle devait cesser ou devait disparaître. Donc la prorogation des textes conventionnels vaut pour l’ensemble de leurs dispositions.

Comme le dit la Jurisprudence constante en la matière, s’il n’est pas possible de dénoncer ou de remettre en cause (valant légalement dénonciation) un texte partiellement, [à titre d’exemple les dispositions de la CCCPA - l’article 2-3  qui dispose : «La Convention ne peut être dénoncée que pour l'intégralité de ses articles, annexes et avenants… »], il en va de même pour la prorogation.

Comme le confirme Papet et la direction dans ses écrits : «Les textes en vigueur sont prorogés jusqu’à fin décembre 2012. »

Les textes conventionnels sont bien prorogés « pour l'intégralité de leurs articles, annexes et avenants » 

Ainsi est prorogé l’article I-2-1 de la convention ainsi rédigé : « La présente convention est conclue pour une durée de trois ans à compter de sa signature. Elle peut faire l'objet d'un renouvellement d'une dénonciation ou d'une demande de révision, dans les conditions ci-après définies :
a) elle peut faire l'objet d'une demande de révision d'un ou plusieurs articles, annexes et avenants émanant de tout signataire ou adhérent;
b) elle ne peut être dénoncée que pour l'intégralité de ses articles, annexes et avenants tels qu'ils existent à la date où la dénonciation est formulée.
La dénonciation ne peut être le fait que de la totalité des signataires et adhérents représentant soit les employeurs, soit les salariés;
c) à défaut de révision ou de dénonciation, la Convention est reconduite pour une durée égale à sa durée initiale.

Depuis le 9 octobre 0h00’01’’ le texte est donc prorogé dans toutes ses dispositions…

Donc « la Convention est reconduite pour une durée égale à sa durée initiale, soit 3 ans »…Comment, en effet, imaginer réduire la durée de vie de la convention qui est de 3 ans, en la limitant à une prorogation jusqu’à fin 2012. Cela n’a pas de sens.

Ce serait un peu comme si le propriétaire ayant établi avec son locataire un bail de 3 ans (3-6-9) décidait à la fin de la première période (de 3 ans), le dernier jour, de lui écrire en lui signifiant que son bail est prorogé jusqu’à la fin d’année en cours !!!

Pas une juridiction ne donnerait raison au propriétaire en considérant cette prorogation de quelques mois comme valable…elle serait nulle d’effet et la décision de justice consacrerait bel et bien la reconduction du bail pour sa durée initiale, soit 3 ans.

La CGC mettra tout en œuvre et saisira toute juridiction compétente pour faire valoir cet état de fait.

Papet va devoir maintenant expliquer à la DGMIC, aux Tutelles, au Gouvernement,  à l’Etat, aux Parlementaires, aux Politiques, aux administrateurs de France Télé et surtout à l’ensemble des salariés, une telle désinvolture (le mot est faible) dans le traitement de ce dossier !!!!!

Lui qui a par ricochet également plombé la négo d’une convention collective des télé privées mort-née, en expliquant qu’il n’avait qu’à attendre qu’elle soit signée et qu’il pourrait y adhérer ensuite en tant que syndication d’employeurs (ce qui coupait court à la poursuite de toute discussion), a fini de montrer là son incompétence en la matière…il a failli à la tâche malgré ses « causeries internes » et ses fallacieux discours.

Ni lui, ni Pflimlin, ni le cercle des fidèles, ne peuvent plus maintenant tenter de gagner du temps en faisant payer aux salariés leurs trop nombreuses erreurs sous prétexte d’un effort national au redressement. Leur devenir et leurs intérêts propres ne sont pas ceux de l'entreprise.

Et si ce délai de 3 ans était mis à profit pour commencer à discuter d'un texte collectif à toutes les sociétés de l'Audiovisuel Public et pourquoi pas de Branche en y incluant le privé...ceci ne faisant absolument pas obstacle aux accords d'entreprise !!

"Temps de chien" pour Thierry Langlois aux programmes de France 3.



Dans le cadre du séminaire qui vient d’avoir lieu concernant le projet de Pflimlin promu par Thierry Thuillier "Info 2015", lancé en août et visant à rassembler les rédactions de France 2, France 3 et FranceTV info intégrant moyens techniques et éditoriaux, Thierry Langlois est venu prêter main forte.

A la question d’un des participants sur les faibles scores d’audience de la chaîne et particulièrement le nouveau magazine à 13h, Météo à la carte, (entre 3,6 et 4,5% de PdA hebdomadaire) Thierry Langlois a affirmé devant l’auditoire : « ça marche aussi bien que l’émission Midi en France qui était sur la tranche la saison dernière» .

Cela devrait plaire à Laurent Boyer qui pourrait bien « lui garder un chien de sa chienne », d’autant plus que l’émission qui était programmée à cette heure là sur France 3, n’était semble-t-il pas « Midi en France » mais « 30 millions d’amis » dont l’audience était plus du triple.

lundi 8 octobre 2012

France 24 et l’A.E.F. habillés pour l’hiver !?


France 24 et l’A.E.F. habillés pour l’hiver !?

Verra-t-on à France 24 et plus largement au sein de l’Audiovisuel, la mise en place d’une « chartevestimentaire » pour les journalistes?

Selon nos informations, le nom de Marc Saikali, directeur en charge de l’info régionale, des rédacteurs en chef des régions, des rédacteurs en chef nationaux pour France 3, circule avec insistance pour devenir directeur de la Rédaction de France 24.

Souvenez-vous, Marc Saikali c’est le corédacteur  pour la direction artistique de France 3 de la « charte vestimentaire » (voir fin de post) destinée à guider dans leur dressing, les journalistes de la chaîne !

Dans un communiqué, France 3 qui optait alors pour un style « Marie-Chantal » dans les tons bleu marine et écrivait, via un mail de Laurent Sauvage directeur artistique des antennes de France 3, destiné aux salariés: « La direction artistique en coordination avec Laurent Corteel et Marc Saikali a élaboré une charte vestimentaire destinée à tous les présentateurs et présentatrices de France 3 […]. 

Le potentiel directeur de la Rédaction de France 24, va-t-il mettre en place de telles « recommandations » à l’A.E.F. ?????

La Convention Collective survivra à Patrice Papet dont l’échec est aujourd’hui manifeste.


La Convention Collective survivra à Patrice Papet dont l’échec est aujourd’hui manifeste.

Papet a prévu depuis le départ de planter les négociations pour tout nouvel accord collectif dans l’audiovisuel…

« En l’absence de signature d’un accord, il appartiendrait à l’employeur de mettre en œuvre tout ou partie des avancées négociées avec les organisations syndicales » voila ce que Papet a couché sur le papier noir sur blanc.

Le 6 février 2009, le blog CGC Média révélait que Didier Tourancheau dernier Président Représentant des employeurs des 6 sociétés de l'Audiovisuel Public adhérentes de la Convention Collective de l’Audiovisuel (CCCPA) et par dessus tout son garant, avait rejeté en démissionnant la proposition de deux DRH parmi les sociétés qui composaient alors l'AESPA, à savoir René Maisonneuve (ex France 2, France3 et RFO) et Patrice Papet (ex Radio France), suggérant que l'Association s'auto dissolve !

Papet qui est donc bien, en amont, coresponsable de tout ce BINZ devrait en toute logique et en conséquence, annoncer dès le 9 octobre son départ en retraite (né le 21 janvier 51, il a déjà fait du rab). Il essaie vainement, ce 8 octobre, de faire passer un message relayé par ses amis de fo, aux négociateurs histoire de faire monter la pression avec ses habituelles « salades» : « après le 8/10/12 il n’y aura plus rien que l’accord FTV. »

C’est FAUX et ARCHI FAUX et Papet le sait pertinemment.

Dans un article intitulé « Négo collective au point mort à FTV: les "Satanas et Diabolo" de la casse sociale à France Télévisions ne rendront pas leur copie! », la CGC Média rappelait d’ailleurs que « Papet qui ne faillit pas à sa réputation...en 10 ans, n'avait pas signé le moindre accord collectif qui soit (depuis France 3 où il était DRH sous Pflimlin dégé, en passant par Radio France DGA/DRH, le même titre qu'à France Télévisions où il est de retour) ».

Depuis juillet 2010 que Papet est là (plus de 2 ans donc) flanqué des deux inséparables Wolters Kluwer Murielle Charles l’ex DRH au « dialogue social» (une fumisterie puisque inexistant à FTV) et Frédéric Mautret l’ex délégué syndical CFTC son actuel « adjoint », force est de constater que les négos n’ont pas abouti.

Quelles conséquences pour les salariés ?

Si aucun accord (de substitution) n’a pu être négocié, les salariés bénéficient alors du maintien des avantages individuels qu’ils ont acquis.

Au 9 octobre 2012, tout d’abord contrairement aux mensonges alarmistes de fo qui refait le coup d’il y a trois ans sur l’air de « sans accord de substitution, il n’y aura plus rien »  - CE QUI EST TOTALEMENT FAUX –  les salariés conservent :

• Tout d’abord, les avantages acquis, à savoir tout avantage dont le salarié a déjà bénéficié au jour de la dénonciation qu’il soit issu de la Convention Collective ou des accords d’entreprise et dont le droit était ouvert au jour de la dénonciation.

Ensuite tout avantage acquis qui représente, autrement dit, un avantage dont le salarié bénéficie à titre personnel, c’est-à-dire que, même si cet avantage peut concerner l’ensemble des salariés, le salarié en a bénéficié individuellement.

A titre d’exemple d’avantage individuel acquis, la prime d’ancienneté sera considérée comme un avantage individuel car elle résulte du temps de présence du salarié dans l’entreprise et elle est propre à chaque salarié même si elle peut être ouverte à tous.

Représente élégamment un avantage individuel acquis, tout ce qui touche à la rémunération, aux classifications, aux qualifications, aux automatismes, etc...au temps de travail, aux jours de congés, aux jours supplémentaires, aux jours coïncidant avec un jour férié, etc…la liste est longue.

En résumé, lorsqu’à l’issue du délai de survie, les salariés conservent donc les avantages individuels acquis, ces dispositions, initialement issues de l’application d’une convention collective ou de différents accords d’entreprise, changent de nature et sont considérées comme incorporées au contrat de travail.

A partir de ce moment, l’employeur ne pourra plus les modifier sans obtenir l’accord du salarié.

Tous ces avantages dont a bénéficié le salarié depuis sa date d’embauche sont listés et deviennent partie intégrante de son contrat de travail que l’employeur ne peut plus modifier unilatéralement. 

Ceux qui disent le contraire mentent aux salariés. 

Ainsi fo comme il y a 3 ans, ressort son gros baratin pour justifier la signature d’un éventuel « texte de substitution » qui pour le compte ferait tout perdre aux salariés !!!!

Dans un papier cire-pompe dont fo a l’habitude, le syndicat souligne « Le pas fait par la direction qui annonce que la négociation sur la partie temps de travail pouvait être reportée à ces prochaines semaines». TU PARLES d’un pas !!!!! Bien obligé, nous sommes le 8 octobre et il n’y a pas de texte.

Et tout de suite après, d’annoncer la couleur, « En revanche, la direction menace « sans signature du texte » d’appliquer unilatéralement l’accord FTV SA » et exige un texte conclusif concernant « la Rémunération, la Grille de classification et les Emplois des PTA ».
TU PARLES d’une menace !!!!! Appliquer unilatéralement l’accord FTV SA qui s’applique de toute façon déjà à tous depuis la loi de mars 2009 !!!!

Il est certain que sans texte signé – A MOINS DE PROROGATIONS -  les salariés Personnels Techniques et Administratifs (P.T.A.) mais aussi les Journalistes conservent donc les classifications, leur système de rémunération, leur qualification puisqu’ils ont contractuels.

« La disparition des « B » et « n » »  que fo agite dans un document bourré de contre vérités, n’est qu’une illustration du baratin dont ils sont coutumiers, destiné à enfumer le personnel pour tenter de justifier ses inavouables positions.

Contrairement à ce que fo raconte « Aucune décision de justice n’a imposé à France Télévisions de rendre sa copie sur sa nouvelle organisation du travail dans l’entreprise pour les Personnels Techniques et Administratifs (P.T.A.) au plus tard le 8 octobre 2012 », NON…La décision de Justice de la Cour d’Appel  saisie par les 3 appelants CFDT, SNJ, SNPCA-CGC, n’a fait que fixer, à cette date, le délai de survie de la Convention, rien d’autre.

Il faut le redire pour fo qui fait semblant de ne pas le comprendre, au 8 octobre 2012 si aucun accord (de substitution) n’a pu être négocié, les salariés bénéficient alors du maintien des avantages individuels qu’ils ont acquis.

Fo va même pousser la farce jusqu’à produire un soi-disant « tableau non-exhaustif » (dixit) de ce qu’ils auraient obtenu…Un florilège de boniments en tous genre plus bidons les uns que les autres :
 
« Une nouvelle classification et définition des emplois qui correspond à la réalité de l’entreprise ». TU PARLES …Laquelle, celle de ses amis de la direction que personne ne valide !!!!
« La reconnaissance des nouveaux métiers de l’audiovisuel qui n’existait pas dans les accords » TU PARLES …Lesquels, ceux de ses amis de la direction que personne ne valide !!!!
« Le maintien total des rémunérations antérieur avec aucune perte de salaire » TU PARLES …
« L’intégration dans le salaire de base de la grande majorité des primes : primes de disponibilité, primes de pénibilité, primes de contrainte, primes de télétraitement, compensation salariale, etc…prime d’ancienneté augmentée, augmentation des mesures individuelles en remplacement des automatismes, progression dans la grille tous les 5 ans, sauf avis contraire (écrit, argumenté et justifié) du chef de service; primes de sujétion intégrées au salaire de base ! etc… TU PARLES …un véritable copié/collé des documents de ses amis de la direction qui fait mine de lâcher d’une main ce qu’elle reprend de l’autre.

Cerise dur le gâteau, fo va même jusqu’à écrire « Nous proposons avec d’autres organisations syndicales, de proroger les accords existants pour donner encore un peu de temps aux négociateurs afin d’aboutir à un texte réfléchi et consensuel. Après deux ans de négociations intensives il serait préjudiciable de terminer ces négociations primordiales dans la « frénésie » alors que nous arrivons à échéance. » !!!

Quelle mascarade…« fo prétend proposer aux autres organisations syndicales, de proroger les accords existants pour donner encore un peu de temps aux négociateurs afin d’aboutir à un texte réfléchi et consensuel… » on dirait le communiqué de la directionoù Papet écrit aux OS  le 6 septembre dernier :

« Sauf accord de substitution intervenu avant cette date [8 octobre 2012], la Direction proposera de proroger jusqu'au 31 décembre 2012 :

  • le délai de survie de l’avenant audiovisuel à la convention collective nationale de travail des journalistes, pour les dispositions portant sur les thèmes non visés par l’accord collectif pour le personnel journaliste de FTV du 15 septembre 2011 et par les dispositions relatives au temps de travail contenues dans le projet de « socle commun »,
  • le délai de survie de la convention collective de la communication et de la production audiovisuelles pour les dispositions portant sur les thèmes non visés par les dispositions relatives à la nomenclature des métiers et des emplois PTA, la grille de classifications ainsi que la rémunération des PTA et sur les dispositions relatives au temps de travail contenues dans le projet de « socle commun »,
  • le délai de survie des accords collectifs d'entreprises et d'établissements en vigueur au sein des sociétés France 2, France 3, France 4, France 5, RFO et FTVI, à l’exception des accords qui ont ou auront cessé de produire leurs effets du fait de la conclusion des accords de substitution d'ores et déjà intervenue à la date du 8 octobre 2012 et des dispositions relatives au temps de travail contenues dans le projet de "socle commun» et des dispositions relatives à la nomenclature des métiers et des emplois PTA, la grille de classifications ainsi que la rémunération des PTA.

 La direction proposera de poursuivre les négociations jusqu'au 31 décembre 2012 portant sur les autres dispositions du projet d'accord collectif, à savoir :

- les annexes à l’accord portant sur le temps de travail dit « socle commun »,
- les dispositions générales de la convention collective (incluant notamment le droit syndical, la couverture sociale, la discipline, les dispositions relatives au contrat de travail, les dispositions relatives à la rupture du contrat de travail.).

La direction s'engage également à conduire d'ici la fin de l’année les discussions des modalités de transposition dans le nouveau système de classification et de l’harmonisation des rémunérations avec pour objectifs la mise en œuvre au 01/01/2012. »

Alors les bobards de fo comme ceux de ses amis de la direction, ça suffit !

L’État , la DGMIC son organe de contrôle financier, le Gouvernement, les Tutelles, les Parlementaires, les politiques, etc…apprécieront de constater que depuis plus d’un an sous Carolis, plus de deux ans avec Pflimlin, Papet et ses acolytes sont à présent dans un cul-de-sac et ne sont parvenus à rien, sauf à la PROROGATION DES TEXTES pour éviter que des dizaines de milliers de personnes dans l’Audiovisuel Public revendiquent que figurent à leur contrat de travail les "A.I.A." avantages individuels acquis.