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mercredi 29 mai 2013

Pflimlin pense pouvoir commencer son plan de licenciement avec son soi-disant accord qui diviserait par 6 ou 7 les indemnités de licenciement hors journalistes.

Pflimlin pense pouvoir commencer son plan de licenciement  avec son soi-disant accord qui diviserait par 6 ou 7 les indemnités de licenciement hors journalistes. 

A peine la cgt et fo avaient-ils signés le fameux « accord historique » de la direction (dixit), hier après-midi dont plus de ¾ des dispositions, il faut bien le dire, concerne les P.T.A. personnels de production, les administratifs, les techniciens et aussi de l’encadrement – les journalistes bénéficiant d’une Convention Nationale étendue qui les concerne tous et représente 80/85 du « corps de leur couverture » que le tandem Pflimlin /Papet communiquait dans les deux minutes montre en main. 

Ils enregistraient même une vidéo pour essayer de redorer leur blason à l’adresse des salariés mais aussi de la Presse. Le Monde.fr du 28.05.2013 mettait en ligne à 19h56 un article titré « A France Télévisions, une bataille de quatre ans s'achève, d'autres commencent ». 

Le quotidien ne croit pas si bien dire mais la première des batailles ce sont les signataires qui vont devoir la mener pour expliquer aux salariés  (dont certains sont en grève depuis 7 jours) pourquoi ils ont signés un tel texte dont « les nouveaux statuts », disait encore hier la cgt à l’AFP  « étaient désavantageux». 

L’alliance cgt/fo qui expliquait également à certains journalistes que "cet accord comportait des risques selon les syndicats, notamment concernant la "fusion" des rédactions" pourtant ils l’ont signé !!!!!....mais attention ils y ont mis des réserves (qui ne servent à rien évidemment) 

"On y laisse quand même quelques plumes mais le texte est mieux disant pour la majorité des personnels", allait même jusqu’à déclarer Véronique Marchand, secrétaire générale du snj-cgt au Monde…tout en ajoutant  "il y a compromis, pas consensus".

Ce sont les salariés qui vont y laisser des plumes comme elle dit et pas seulement quelques-unes ! 

La cgt, Véronique Marchand va sûrement expliquer aux salariés hors journalistes dont les indemnités de licenciement sont clairement fixées dans leur Convention étendue, comment elle interprète juridiquement l’article 8.4.4.1 page 56 de ce « nouveau texte social de référence pour les journalistes ainsi que pour les personnels techniques et administratifs » (toujours dixit la direction) qui en français dans le texte divise par 6 ou 7 les indemnités de licenciement ?!

Article 8.4.4.1 du « nouveau texte social de référence », intitulé « Indemnités de licenciement des personnels techniques et administratifs » 

« En dehors du cas de licenciement pour faute grave ou lourde, tout personnel technique et administratif licencié percevra une indemnité égale à :  

- un mois de salaire de référence pour la tranche comprise entre un et douze ans de présence,
- trois-quart de mois de salaire de référence pour la tranche comprise entre douze et vingt ans de présence,
- un demi-mois de salaire de référence pour la tranche comprise entre vingt et trente ans de présence, 
- un quart de mois de salaire de référence pour la tranche au-delà de trente ans de présence.

Le montant de l’indemnité de licenciement versée au personnel technique et administratif ne peut excéder 24 mois de salaires…. » 

Le salaire annuel de référence comprend les éléments suivants : Salaire de base (non indexé), prime d’ancienneté, les compléments de salaire à caractère permanent (non indexées dont le supplément familial et la part variable sur objectifs de l’année n-1), hors primes exceptionnelles et élément variables liés à l’activité le cas échéant.

Le salaire annuel de référence pris en compte pour le calcul de l’indemnité de licenciement est le salaire annuel de référence décrit ci-dessus divisé par 12 » 

Voici maintenant le texte de la CCCPA que la cgt et fo ont enterrée : 

ARTICLE IX.6 "INDEMNITÉ DE LICENCIEMENT" (page 76 de la CCCPA) 

« Tout salarié confirmé, lorsqu'il a droit, en cas de dénonciation du contrat de travail  prononcée par l'entreprise dans les conditions fixées à l'article 5 du présent chapitre, à une indemnité, celle-ci est calculée par année continue d'activité ou de congé rémunéré égale à:

- un mois de rémunération pour la tranche comprise entre un et douze ans de présence,
- trois-quart de mois de rémunération pour la tranche comprise entre douze et vingt ans de présence,
- un demi-mois de rémunération pour la tranche comprise entre vingt et trente ans de présence,
- un quart de mois pour la tranche au-delà de trente ans de présence.
Pour le calcul des années d'activité, il sera tenu compte:
a) du temps de présence effectif accompli au sein de l'une des entreprises assujetties à la présente Convention ou de toutes celles qui l'ont précédée au sens de l'article 122.12 du code du travail;
b) du temps pendant lequel le salarié a été détaché. 

Les fractions d'année donnent lieu à l'attribution d'une fraction d'indemnité calculée comme ci-dessus pour l'année considérée, et réduite au prorata du nombre de mois. » 

Pas besoin de sortir de Saint Cyr pour constater que la phrase contenue dans le texte conventionnel qui régissait les salariés PTA de France Télévisions et qui indiquait « Tout salarié confirmé, lorsqu'il a droit, en cas de dénonciation du contrat de travail  prononcée par l'entreprise dans les conditions fixées à l'article 5 du présent chapitre, à une indemnité de licenciement, celle-ci est calculée par année continue d'activité ou de congé rémunéré … » a disparu. 

Cette phrase est bien évidemment indispensable et essentielle. Elle consacre le calcul de l’indemnité de licenciement qui est donc calculé par année. 

Voici ce que cela donne en français et en pure application des 2 textes, le nouveau texte signé par la cgt/fo pour l’heure (voire pour leurre) et la CCCPA.

Un salarié qui a 37 ans de maison selon la CCCPA percevait une indemnité de licenciement de :
12 fois un mois de rémunération pour les 12 premières années
+ ¾ pour les 8 suivantes (donc 6)  
+ ½ pour les 8 suivantes (donc 4)
+ ¼ pour celles restant (ici de 28 à 37 années, soit  9 donc 2,25) 

soit une indemnité de 24,25 mois «de rémunération» pour un salarié PTA qui avait passé 37 ans à travailler dans l’entreprise.

Avec le « nouvel accord historique » dont se vante Pflimlin et consort,  ça donne « en français » dans le texte : 

un mois de salaire de référence pour la tranche comprise entre un et douze ans de présence donc 1 mois de salaire annuel de référence divisé par 12 ». 
+ 3/4 de mois de salaire de référence pour la tranche comprise entre douze et vingt ans de présence, donc + 1 mois de salaire de salaire annuel de référence divisé par 12
+  un 1/2 de salaire de référence pour la tranche comprise entre vingt et trente ans de présence, donc  + 1 mois de salaire de salaire annuel de référence divisé par 12
+ 1/4 un quart de mois de salaire de référence pour la tranche au-delà de trente ans de présence donc encore + 1 mois de salaire de salaire annuel de référence divisé par 12

Soit une indemnité de 4 mois « du 12ème du salaire de référence» pour un salarié PTA qui avait passé 37 ans à travailler dans l’entreprise. 

Eh oui, la formule « l’indemnité de licenciement  est calculée par année continue d'activité ou de congé rémunéré … » ayant sauté, n’importe quel juriste qui parle français fera certainement la même analyse du texte.


Rappel du courrier de la direction invitant les plus âgés (60 ans et plus) à faire valoir vos droits à la retraite et à être volontaire au départ pour :

- 6 mois de salaire brut pour pour une tranche de moins de 10 ans d’ancienneté
- 7 mois de salaire brut pour une tranche allant de plus de 10 ans mais moins de 20 ans d’ancienneté
- 8 mois de salaire brut pour une tranche  de plus de 20 ans mais moins de 30 ans d’ancienneté
- 9 mois de salaire brut pour la tranche des plus de 30 ans d’ancienneté
Ceux qui avaient donc 37 ans d'ancienneté et qui se trouvaient être dans la dernière tranche, ne sont pas partis avec plus de 9 mois de salaire. C'est un fait.

La cgt dont la direction se réjouit qu’avec ses 38 % de représentativité et son statut de premier syndicat, elle ait signé malgré des « réserves » sur « le temps de travail, les conditions de passage au forfait jour, considéré comme une forme d'annualisation favorisant plus de souplesse et risquant de faire travailler les personnels plus longtemps en favorisant plus de souplesse » (dixit la cgt) va sûrement expliquer cela aux salariés PTA du groupe …ou comment la direction pourrait faire passer un salarié qui a 37 ans de maison de 24,25 mois d’indemnités de licenciements à 4 mois seulement  !!!!!!! 

Sûrement ce que Papet qualifie de « grand succès » et que Pflimlin évoque comme « un  horizon désormais dégagé pour les projets futurs de la direction» (le plan de licenciements) »….et à ce prix-là pourquoi s’en priveraient-ils ?

Le retour de bâton de la part des salariés déboussolés peut-être mais en colère sûrement, pourrait bien être cinglant pour certains !

7ème jour de grève à France 3…mais la cgt a signé l’accord "historique" de la direction » !!!



7ème jour de grève à France 3…mais la cgt a signé l’accord "historique" de la direction !!!

Voici le texte du préavis de grève que la cgt a déposé le 16 mais 2013 à 17h20 : « Les personnels techniques affectés à la Fabrication Siège et au service Support Maintenance Opérationnel  ont demandé à être soumis aux dispositions du socle commun Temps de Travail du projet d'accord collectif. »
La demande de la cgt, sauf à ne pas savoir lire, est donc que les salariés concernés soient « soumis aux dispositions du socle commun Temps de Travail du projet d'accord collectif. » ; il n’est pas question d’un avenant, d’une annexe mais bel et bien de l’accord collectif !

La cgt qui AG après AG reconduit la grève à durée indéterminée, avait d’ailleurs dans son préavis, appelé à la grève « Après le refus de la direction d'accéder à cette revendication », à savoir intégrer leur « revendication au projet d'accord collectif »

« La direction nous a claqué la porte vendredi soir dernier en nous disant qu'elle reprendrait les négociations seulement mercredi. Ils nous ont laissé cinq jours sans négocier. Donc, le conflit se durcit. Nous ne voulons pas de disparités au sein du siège. L'accord collectif doit concerner tout le monde. » déclarait, il ya deux jours, un cégétiste.

Toujours selon ce même cégétiste « Les grévistes dénoncent les évolutions de leur statut dans le cadre de l'entreprise commune et estiment que le nouveau statut serait moins avantageux. ». Voila qui est dit !  
Mais alors pourquoi donc la cgt qui appelle à la grève «face au refus de la direction d’accéder à la revendication du syndicat (ci-dessus) et de l’intégrer aux dispositions du projet d’accord estimant que l’évolution vers un nouveau statut dans le cadre de l'entreprise commune serait moins avantageux », a-t-elle signé l’accord de mardi 28 mai ????

"Le nouveau statut des salariés de l'accord collectif sera moins avantageux " (dixit la cgt) mais elle signe cet « accord historique » avec la direction (dixit) véritable usine à gaz au 12 groupes de métiers et d'emplois qyui se répartissent en 5 catégories (ouvriers 1 et 2, techniciens, maitrises 3 et 4, cadres 5 à 8, cadres sup 9 à 11 et cadres dirigeant hors grilles) avec des "niveaux intermédiaires de spécialité" appelé « Spé » de [exemple « 5 Spé », « 6 Spé », etc]qui peut faire que quelqu'un qui rentre au premier échelon de son groupe de classification (dont certains peuvent aller jusqu'à 24 niveaux dit "de placement" ) mettra entre 75 et 105 ans pour franchir l’intégralité des échelons d'un même groupe.

Avant un salarié pouvait espérer atteindre les 8/10 premiers niveaux d'une grille métier au moins sur les 42 annuités aujourd'hui requises pour la retraite, à présent il lui faudrait de 75 à 105 ans....Il s'agit bien là d'un accord collectif "historique" !!!!!!



 

mardi 28 mai 2013

La cgt qui continue d’appeler à la grève contre le texte que proposait la direction de France Télé, le signe aujourd’hui.



La cgt qui continue d’appeler à la grève contre le texte que proposait la direction de France Télé, le signe aujourd’hui.

Comme le blog CGC Média l’annonçait dès hier, le cgt, qui appelé les salariés à faire grève contre le texte que propose la direction, vient de le signer !!!!!!          

Les salariés grévistes qui en sont à leur 6ème jour de grève, c’est-à-dire qui viennent de perdre 6/30ème de leur salaire mensuel, apprécieront.

Dès hier, le blog CGC Média posait deux questions:
Comment la CGT va-t-elle expliquer aux salariés qu’elle signe avec la direction un texte qu’elle n’a pas encore signé mais qu’elle discute depuis plus de 3 ans et  contre lequel elle appelle à la grève aujourd’hui ??!!
Comment va-t-elle expliquer aux salariés que la direction qui ne cesse de rajouter des petites clauses style contrat d’assurance à ce texte toujours signé par personne et qui a déjà fait perdre aux salariés concernés 5 jours de salaire, la CGT s’apprête à le signer dès demain ??!!
« Un accord historique » communique  la direction ce 28 mai 2012 …un accord qui comporte 12 groupes de métiers et d'emplois qyui se répartissent en 5 catégories (ouvriers 1 et 2, techniciens, maitrises 3 et 4, cadres 5 à 8, cadres sup 9 à 11 et cadres dirigeant hors grilles) avec des "niveaux intermédiaires de spécialité" appelé « Spé » de [exemple « 5 Spé », « 6 Spé », etc]. Invraisemblable.

Chaque groupe de classification  peut comprendre de 14 à 21 voire 24 niveaux dit "de placement" où il faudrait donc entre 75 et 105 ans à un salarié pour franchir l’intégralité des échelons d'un même groupe (4 années révolues donc 5 en réalité pour passer au niveau supérieur) !

Ce que la direction appelle « s’adapter aux évolutions de son environnement avec ce  nouveau dispositif de classification fondé sur responsabilités et compétences associés au poste occupé » !!!!

Les salariés en colère d’avoir été entraînés dans cette grève pour s’opposer à la mise en place d’un texte jusqu’à aujourd’hui réputé non validé, vont demander des comptes à ceux qui l’ont signé.

La communication de l’alliance cgt/fo qui ont signé aujourd’hui l’accord de la direction, est d’ailleurs la même : « fo a ratifié mais…la négociation continue » et « la cgt a signé l’accord France Télévisions avec des réserves ».

Quelle logique y-a-t-il à signer un texte auquel on s’oppose même en y mettant des réserves alors qu’il est simple de ne pas signer tant que celles-ci ne sont pas prises en compte ??????...à moins que ce ne soit pour sauver la mise à la direction !!!

Quant à la direction  qui indique dans son communiqué de propagande habituel que 4 organisations syndicales dont la CDFT ont signé, tel n'est pas le cas.

Pflimlin instaure une journée des enfants à Roland Garros !




Comme chaque année Roland Garros revient (peut-être pour la dernière année selon les bruits de couloir à France télé) et comme très souvent les clients de la régie pub (les contributeurs d'avant 20h) y sont invités.

Cette année le mercredi (jour des enfants oblige!!) sera destiné aux enfants des responsables du Comité Exécutif....il n'y a peut-être globalement plus assez d'annonceurs!!!!!

Ou comment utiliser un "budget dédié" à rassembler des "clients" afin d'amuser les enfants du Comex !

Jeu, set et match.... 

lundi 27 mai 2013

5ème jour de grève à France 3 à l’initiative de la CGT contre un accord qu’elle va signer avec la direction.

5ème jour de grève à France 3 à l’initiative de la CGT contre un accord qu’elle va signer avec la direction.Ubuesque la situation…et le mot n’est pas trop fort. En milieu de matinée, le spectacle à France Télévisions lors d’une A.G. organisée par la cgt, l’était tout autant. Papet le DGA/DRH  de FTV s’y était même rendu. Il est reparti hilare de voir les intervenants cgt qui se passaient le micro s’engueuler entre eux. 

Non content de s’engueuler « ce n’est pas moi qui ai signé le préavis…faut voir avec untel…j’en sais rien, etc… » les quelques cégétistes qui ne se bousculaient toutefois pas au micro, ont de surcroît trouvé le moyen de se faire chahuter par des salarié nichés sur les passerelles assistant médusés à ce pitoyable spectacle. 

"On arrive à la fin des négociations sur le futur accord collectif qui nous prévoit un +statut siège+ qui sera beaucoup moins avantageux que le socle commun concernant les récupérations, le travail de nuit ou le temps de pause", avait-il expliquait de son côté Eric Laumonier le signataire du préavis. Et d’ajouter  "Ce statut siège devrait concerner environ 400 salariés sur les quelque 7.000 personnels techniques et administratifs (de France Télévisions, ndlr) qui bénéficieront du socle commun" ….

Cinq jours que la cgt qui a mis les salariés en grève, en est à expliquer qu’ils vont perdre des journées de salaires pour demander un socle commun dans le cadre  «d’un ACCORD SIGNÉ PAR PERSONNE » dont ils terminent la lecture !!!!

seule la cgt a annoncé vouloir signer avec la direction !!!!!! 

Pas étonnant que Papet ricane et reparte avec la banane. La cgt a lancé les techniciens de plateau, de régie et de maintenance du siège dans une grève de protestation contre leurs futurs statuts, liés à la mise en place d'une entreprise commune, et qui vont être signés par elle !!!!

CAR IL FAUT LE REDIRE, C’EST BIEN LA CGT QUI VA SIGNER CE TEXTE CONTRE LEQUEL ELLE A EMMENÉ LES SALARIES DANS LA GRÈVE.

Comment la CGT va-t-elle expliquer aux salariés qu’elle signe avec la direction un texte qu’elle n’a pas encore signé mais qu’elle discute depuis plus de 3 ans et  contre lequel elle appelle à la grève aujourd’hui ??!!

Comment va-t-elle expliquer aux salariés que la direction qui ne cesse de rajouter des petites clauses style contrat d’assurance à ce texte toujours signé par personne et qui a déjà fait perdre aux salariés concernés 5 jours de salaire, la CGT s’apprête à le signer dès demain ??!!

Nouveau plantage pour Patino parti à L.A. pour faire le plein de séries américaines.

Nouveau plantage pour Patino parti à L.A. pour faire le plein de séries américaines.


Samedi 25 mai à 18h15, France 2 avait décidé de diffuser une série américaine en access prime time: « "US Marshals" : Protection de témoins»


Un « one shot » visiblement, le 8 ème épisode de la 5ème saison intitulé : « Ne dis pas adieu »  a donc été diffusé, fin de semaine dernière, pour n’attirer que 741.000 téléspectateurs et 5,9% de pda. Un véritable flop.
 

Pourquoi ce n°8 de la saison 5 d’une série  lancée dès le 29 avril 2010 sur  France 4 en prime time a-t-il été diffusé, ça reste un  véritable mystère !!!! De quoi déboussoler plus d’un téléspectateur c’est évident.


L'audience de la chaîne s'est à nouveau  effondrée en tombant à moins de 800.000 téléspectateurs… et dire que Pflimlin a fait de Patino son numéro 2 !

Pflimlin refoulé à Cannes




Pflimlin refoulé à Cannes
 



Mercredi 22 mai comme chaque soir, Le Petit Journal de Canal+ proposait un  florilège des "plus grands moments " du Festival de Cannes.
Pour participer aux "festivités" d'après projection pendant la quinzaine (restaurants; boites de nuit, soirées spéciales), il faut montrer patte blanche auprès des "personnels  de sécurité et autres videurs" recrutés pour l'occasion.
Pflimlin ne doit pas faire partie de ces personnalités qui rentrent sans problèmes, non! Arrivé devant un restaurant cannois, il s’est fait refoulé par un videur qui ne l’a pas reconnu: « C’est fermé là monsieur. On fait d’abord rentrer les personnalités », lui a-t-il dit.
Ce n'est que lorsque Pflimlin a lancé à notre homme « Mais je suis le président de France Télévisions », que ce dernier l'a laissé passer.

Au cas où vous auriez raté cette séquence cocasse, la voici :