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lundi 26 mai 2014

Comment distinguer pour France Télé d’éventuelles « vraies fausses factures » de « fausses factures » payées à Bygmalion ?

Le blog CGC média souhaite apporter sa pierre à l’édifice et fournir à J-F. Copé un ou deux stimuli qui lui permettront peut-être de recouvrer la mémoire.
 
Après la retentissante conférence de Presse de l’avocat de la société Bygmalion mise en examen comme son ex dirigeant Bastien Millot  dans l’instruction judiciaire menée par le juge Renaud Van Ruymbeke (*) qui a donc entendu les 2 ex collaborateurs de J-F. Copé Guy Alves et donc Bastien Millot, le blog CGC Média a souhaité nécessaire de fournir un ou deux stimuli à celui qui ne se souvient plus très bien.
Evoquant de « vraies fausses factures » après les « fausses factures »,  Patrick Maisonneuve le conseil de Bygmalion a estimé à « plus de dix millions d'euros » les sommes litigieuses.

Concernant France Télévisons qui de 2008 à 2013 – 2 ans sous Carolis et près de 4 sous Pflimlin – a non seulement signé les contrats avec Bygmalion sans mise en concurrence comme c’est pourtant  la règle mais surtout payé rubis sur l’ongle les nombreuses factures qu’a enchaîné la société  sur toute cette période, il convient de rappeler à celui qui insista pour présider la commission du même nom et décider du sort de la télé publique, notamment de la création de cette entreprise unique et ce juste après que le 13/09/2007, "Capital.fr"ait révélé que : " Jean-François Copé intégrait le cabinet d’avocats Gide Loyrette et Nouel" choisi par France Télé pour sa réforme !!!!!   
La question que devra se poser par analogie le juge Van Ruymbeke, au regard des déclarations de l’avocat de Bygmalion, comment distinguer pour France Télé d’éventuelles « vraies fausses factures » de « fausses factures » ?  

Le blog CGC Média pour  que Jean-François Copé ne fasse pas trop marcher ses méninges sur ce volet audiovisuel, lui propose donc deux premiers stimuli :
Le premier Celui du journal  « Le Monde » de ce 26 mai qui rappelle aujourd’hui que Guy Alves est « LE PREMIER “COPÉ'S BOYS” » à qui Jean-François Copé, l’ex ministre du budget mais aussi le député qui avait insisté pour présider la commission éponyme sur le sort de France Télévisions,  a confié l'intégralité de la communication de son micro parti Génération France dont il est le contact identifié au Journal officiel mais également selon « Le Point » le trésorier.

Eh oui, les fondateurs de Bygmalion : Bastien Millot et Guy Alves, sont tous deux des proches du toujours président de l'UMP.
Bastien Millot fut notamment directeur de cabinet de J-F. Copé à Meaux, où il est maire, et Guy Alvès fut son chef de cabinet à Bercy, lorsqu'il était ministre délégué au budget, entre 2004 et 2007.

Le deuxième est un article du journal Marianne de 2007 au moment où Jean-François Copé, vient de rejoindre en tant que collaborateur l'un des plus importants cabinets d'avocats d'affaires français : Gide Loyrette et Nouel.


Le texte débute ainsi: "Le directeur de France télévisions a confié au cabinet qui emploie Jean-François Copé la rédaction d'un projet de fusion des chaînes du groupe. Or, l'enquête de Marianne2.fr montre que trois anciens collaborateurs de Copé travaillent à présent auprès de Patrick de Carolis. 

Tout commence par la petite bombe lâchée en dernière page du Canard enchaîné du 3 octobre. Le grand plan secret de Patrick de Carolis pour répondre aux exigences d’économie figurant dans la lettre de mission rédigée par Nicolas Sarkozy à la ministre Christine Albanel y est dévoilé : le projet « ORTF » comme l’appellent ses détracteurs prévoie la fusion des chaînes du groupe France télévisions à travers un « projet de disposition législative » dont la rédaction a été commandée à un grand cabinet d’avocat.

Le Canard ne le relève pas mais, hasard ou coïncidence, il s’agit justement du cabinet Gide Loyrette et Nouel, celui où collabore Jean-François Copé. Ce dernier vient d'ailleurs de se faire sérieusement avoiner pour cumuler sans complexe son poste de député-maire et patron du groupe UMP avec un juteux « temps partiel » dans ledit cabinet. Le député-maire de Meaux s’est-il occupé lui-même de la rédaction du texte commandité par Carolis ? Une chose est sûre, on n'est pas loin du conflit d'intérêt...."



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