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jeudi 9 octobre 2014

Décidément le trio Pflimlin/Patino/Thuillier n’en finit pas de plomber l’ambiance avant de partir.

Décidément le trio Pflimlin/Patino/Thuillier n’en finit pas de plomber l’ambiance avant de partir.  

Dans quelques semaines, le trio Pflimlin/Patino/Thuillier qui va devoir enfin laisser la place, n’en finit pas de tirer le groupe public vers le bas.
 
Sur fond de licenciement collectif à France Télévisions (340 postes supprimés), celui que Nicolas Sarkozy nommait à l’été 2010, son « numérobis » chargé des programmes et son directeur de la Rédaction aussi en charge des programmes de France 2, ont décidé de claquer un fric monstre en transportant au 1er étage de la tour Eiffel, la énième émission confiée à Pierre-AntoineCapton – encore et toujours lui – via sa boite de prod« Troisième Œil Productions », « le talk-show haut de gamme d'Alessandra Sublet » (c’est lui comme la chaîne qui le disent).
 
Il faudrait peut-être dire aux intéressés que ce n’est pas parce qu’on loue le premier étage de la tour Eiffel en y installant 160 m2 de un décor qui se démonte entre deux tournages, des caméras 4K et des invités qui arrivent en bateau par la Seine... qu’il n’est pas possible de tomber bien bas.

Ce mercredi 8 octobre, Nicolas Bedos était donc l’invité de la deuxième édition de « Un soir à la tour Eiffel ».  L’humoriste  y promouvait  la sortie d’un livre, “Les serments déchirés” où il raconterait son histoire d’amour de plusieurs mois avec une certaine… Valérie Trierweiler !

 
Ce n’est qu’après deux heures passées pour Alexandra Sublet et le comédien à égrainer les « anecdotes », qu’en fin d’émission, la supercherie a été révélée. En vérité, il n'y a ni livre, ni relation.

Un gros canular de deux heures avec la complicité de la production de l’émission et de Alessandra Sublet qui, elle, parle d’«une grosse connerie» où Nicolas Bedos a raconté une liaison (imaginaire, donc) avec Valérie Trierweiler alors qu'elle était encore Première Dame, que la chaîne assume et que « le trio de programmateurs » revendique même en indiquant « Nicolas Bedos est un humoriste, on lui donne la parole pour respecter sa liberté de ton et de sujet, la seule condition est de prévenir les téléspectateurs, ce qui fut fait. »
Nicolas Bedos a également précisé « qu’ avec le rédacteur en chef d’Un soir à la Tour Eiffel la moindre fuite potentielle pouvant émaner de la chaîne, de la production, du public présent, avait été traquée pendant l'enregistrement. La séquence, nécessitant d’ailleurs de la part de de l’animatrice, plusieurs répétitions en loge pour réussir à tenir le rôle. ». Selon lui, sa matinée aurait été marquée par un appel du Président lui-même….Un coup de fil d’abord tendu puis “sympathique et drôle” que l’Elysée n’a pas confirmé.

C’est probablement ça « l’impertinence et le ton décalé du service public » que Pflimlin et ses lieutenants mettent en avant !!!!

Il semble pourtant que le CSA n’ait pas exactement eu la même analyse, notamment après les milliers de commentaires sur internet.

Les Sages de l’instance ont ainsi décidé d'“examiner” l’affaire lors d’une réunion plénière dans les jours à venir.

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