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samedi 1 février 2014

Après le PDV de Pflimlin, le PDF (*) de Saada sur fond de Bérézina publicitaire !

Un P.D.F (*) Plan de Départs forcés , c'est à peu près vers quoi vont être poussés, les commerciaux de la régie pub de France Télévisions après l'interview surréaliste que vient de donner sur le site "Ad exchange.fr" Yannick Lacombe, le tout nouveau numéro 2 de FTP qui éclaire enfin sur la toute dernière stratégie de la régie publicitaire.

Le 10 janvier, l'étonnant Saada s'exprimait dans les colonnes des Echos; il y indiquait 
alors que "la croissance attendue sur le nouvel access de F2 allait faire revenir les annonceurs sur cette tranche stratégique tout en expliquant que Sophia Aram n'avait eu qu'un impact limité sur le chiffre publicitaire"...Tu parles!!!!!

Avant tout, il convient de mettre Saada devant ses propres contradictions: Si les annonceurs reviennent, c'est qu'ils sont bien partis! Voila pour la sémantique.

 
Ensuite, n'en déplaise à Saada, pas sûr qu'ils se précipitent pour revenir alors même que Ruquier fait 2 fois moins d'audience que Nagui!

Le blog CGC Média publiera d'ailleurs dans les jours qui viennent les chiffres de janvier 2014, ils sont très mauvais.

Il y a encore quelques semaines pour trouver quelque chose à dire au sujet du licenciement sans raison du directeur commercial de la régie pub Olivier Douffiagues (lire « Saada le double effet qui s’coule… Il vire ses collaborateurs aussi vite qu’il perd les annonceurs ! »), Saada, indiquait dans un "communiqué" de circonstance, qu'il souhaitait "une structure plus agile et moins hiérarchisée"!

Ah, l'agilité de la structure...en voila un concept qui ne veut dire!   Quèsaco une structure agile ? Le singe est agile, le tigre ou le chat sont agiles, l'esprit également peut être agile mais la structure !?

Et bien Yannick Lacombe vient de l'expliquer dans l'interview invraisemblable qu'il donne  "Ad exchange.fr" (voir en fin de post)

Après que Pflimlin ait donné la commercialisation des espaces pubs de Via Stella au groupe de Bernard Tapie, le nouveau tandem Saada/Lacombe s'apprête  à donner la commercialisation de "l'espace publicitaire" de France Télévisions" à la place de marché "La Place Média"!
Yannick Lacombe d'en rajouter même une couche "l'entreprise gagne en performance car les structures sont assez agiles"!!

Rebelote, l'agilité Saadienne! ... Il est très peu probable que la définition qu'il donne de l'agilité des structures ait été du goût de tout le monde à la Régie. Et pour cause...Yannick Lacombe explique sans honte que ces "structures agiles" sont peu coûteuses et très vite profitables.
Autrement dit, mesdames, messieurs les commerciaux dehors....Oust, la régie n'a plus besoin de vous...l'automatisation, il n'y a  que ça de vrai !!!

Si le nouveau tandem Saada/Lacombe se donnait la peine des bureaux où ils se retranchent pour découvrir l'entreprise et ses salariés, il se serait rendu compte que FTP dispose depuis 13 ans de la première et toujours unique plateforme de vente aux enchères intégrée Media@exchange.

Lancée par le duo Santini (viré par Pflimlin)  et Scherer (viré par Saada), ils doivent certainement considérer qu'il vaut mieux travailler au développement de "La Place Média" !!!
 
Saada n'a visiblement toujours pas compris depuis qu'il a été nommé par Pflimlin à 66 ans passés (en changeant les statuts de la régie pour ce faire, il faut le redire) que ce projet était la pour "traiter des bandeaux pub et de leurs invendus" mais absolument pas de "l'espace Premium" à vendre...Saada préfère privilégier un conglomérat d'acteurs privés dont la régie ne détient que 5% plutôt que de favoriser la croissance de sa propre filiale.

Saada et Lacombe n'auraient-ils finalement qu'une seule idée en tête: Réinventer la délocalisation pour mieux faire passer le PDF Plan de Départ Forcé des commerciaux de la régie !!!!
Qu'en pense l'État actionnaire ?

Chacun comprend mieux pourquoi cette vision Lacombo/Saadienne n'a pas été spontanément relayée sur le réseau social de l'entreprise...

Dire sans le dire à des salariés particulièrement désabusés qu'ils ne serviront bientôt plus à rien,  n'est effectivement pas de nature à les remotiver ! 

C'est peut-être par peur de voir ces salariés ruer dans les brancards, en découvrant  les propos surréalistes de Lacombe que Saada les a très confidentiellement et finalement  "laissé passer" en prenant soin d'enlever son titre à l'interview : "France télévision publicité voudrait bien vendre ses spots TV sur les ad-exchanges"





vendredi 31 janvier 2014

Bastien Millot tape sur la direction de France Télévisions à laquelle il appartenait pourtant! Hallucinant.


Dans son numéro 876 du 31 janvier au 6 février 2014, le magazine Marianne en page 18 publie un article intitulé ""Le Magot et Millot" où l'intéressé charge la dierction de France Télévisions à laquelle il a pourtant appartenu pendant des années.

"Les procédures d'appels d'offres ne sont pas du ressort des prestataires. La direction est seule responsable de leur respect" .

Faux et archi faux...Sinon pourquoi les délits de "complicité et de recel" passibles des mêmes sanctions que le délits eux-mêmes existeraient-ils????

Quand bien même cela serait, avec une telle déclaration HALLUCINANTE que le SNPCA-CGC partie civile dans la plainte transmets immédiatement au juge Van Ruymbeke, Millot se tire une balle dans le pied.

Pourquoi ? Parce que au moment où Bygmalion la société de Millot signe des contrats avec France Télévisions, Millot est bien membre de cette direction (*) qu'il accuse aujourd'hui "d'être seule responsable de ne pas avoir respecté les appels d'offres".

(*) Bastien Millot a quand même un certain culot de faire porter la faute à la dierction de France Télévisons pour les contrats signés avec sa société dès 2008 alors qu'il est membre de cette direction depuis 2005 et ce jusqu'à fin septembre 2010.

Millot enchaînera deux périodes de congé sabbatique (donc toujours sous contrat à FTV)

Première période : Du 18 avril 2008 au  30  septembre 2009   

Deuxième période : Du 1er octobre 2009 au 30  septembre 2010  

Donc le 21 décembre 2009, lorsque Bygmalion la propre société de Bastien Millot qui est toujours sous contrat avec France Télévisions reconduit différents contrats de prestations entre lui et son employeur FTV, il le fait en toute connaissance de cause et en violant, notamment, les dispositions de l’accord France Télévisions S.A. du 26 juin 2003 qui a force de loi et fixe clairement les règles aux articles 17 « Exclusivité de collaboration » et 18 « Intérêts croisés » 

Bastien Millot est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 19951.
De 1995 à 1997, il est assistant parlementaire de Jean-François Copé, alors député RPR de Seine-et-Marne2,3. Il devient ensuite son directeur de cabinet à la mairie de Meaux[précision nécessaire]4.
En 2002, Bastien Millot est nommé directeur de cabinet au secrétariat d'État aux relations avec le Parlement. À cette époque, il est le seul non-fonctionnaire à occuper un poste de directeur de cabinet et, à 29 ans, il est le benjamin des « dircabs »5.
En 2004, il est nommé chef de cabinet et conseiller auprès du ministre délégué à l'Intérieur4. Il est également directeur de campagne de Jean-François Copé aux élections régionales de 2004 en Île-de-France6. En décembre 2004, il est nommé directeur-adjoint de cabinet au ministère délégué du budget et de la réforme de l'État7.
Bastien Millot a été parallèlement[précision nécessaire] adjoint UMP de la maire de Beauvais, Caroline Cayeux. En 2004, il est condamné à une amende de 8 000 euros pour avoir signé des heures supplémentaires indues à un chauffeur de la ville8,9,10.
En 2005, son nom est cité dans les médias dans le cadre de l'affaire Gaymard car il occupe l'appartement privé de Jean-François Copé. Ce dernier jugeait cet appartement « totalement inhabitable » et disposait d'un logement de fonction, loué par l'État11.

Bastien Millot devient, durant l'été 2005, directeur délégué du groupe audiovisuel public France Télévisions, chargé de la communication, de l'innovation et de la stratégie auprès du président du groupe, Patrick de Carolis12. Il exerce également les fonctions de vice-président et secrétaire général de la fondation d'entreprise France Télévisions13 et de président-directeur général de France Télévisions Services14, groupement d'intérêt économique qui assure la gestion des services généraux du groupe France Télévisions.
En , il fonde le Club France Télévisions15 qui totalisera deux ans plus tard deux millions de téléspectateurs membres16.
En , tout en conservant ses précédentes fonctions, Bastien Millot prend la direction générale de Multimédia France Productions (MFP)17, une filiale du groupe France Télévisions, spécialisée dans la production de programmes télévisuels, ainsi que le sous-titrage18.
Il est par ailleurs, de l'été 200519 à l'été 200820, actionnaire, administrateur et représentant permanent de TV5MONDE.
À l'automne 2008, Bastien Millot quitte France Télévisions pour créer « une agence spécialisée dans le conseil et la communication »21 et devenir d'octobre 2008 à mars 2010 conseiller régional UMP de Picardie en remplacement d'Antoine Lefèvre (fraîchement élu sénateur)22. [il est en congé sabbatique les deux ans qui suivent donc toujours sous CDI, donc toujours contractuellement, membre de la direction de FTV... ndlr] 

Le juge Renaud Van Ruymbeke appréciera surement.

France Télé censure-t-il son site de rediffusions?

Ne cherchez pas à revoir, si vous l'avez raté la diffusion du JT de France Ô du 29 janvier à  12h30, vous ne la trouverez pas sur le site de rediffusion des programmes de France Télé "Pluzz" dont Patino revendique la paternité.
Elle a tout bonnement été enlevée...censurée n'hésitent pas à dire certains!

Pourquoi donc cette édition du 29 janvier est-elle inaccessible ?

Y-a-t-il un rapport avec la grève des gérants des stations-services des départements d'Outre-mer - Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion et Mayotte - suite au décret du Gouvernement dit décret "Lurel" visant à réguler la filière carburants qui vient d'être publié au Journal officiel?

Qu'y avait-il de si gênant ?????

Quelle explication Pflimlin qui parlait, il y a peu encore, de "transparence" devant les parlementaires et promouvait la liberté de la Presse, va-t-il bien pouvoir donner?  

jeudi 30 janvier 2014

Ajdari candidat déclaré pour remplacer Hees à Radio France a-t-il vraiment le soutien de la ministre ? Et le CSA dans tout ça?

Ajdari candidat déclaré pour remplacer Hees à Radio France a-t-il vraiment le soutien de la ministre ? Et le CSA dans tout ça?

Hier, 29 janvier 2014, Renaud Revel publiait dans l’Express un article intitulé « Candidat déclaré, Martin Ajdari sera-t-il le prochain pédégé de Radio France? ».

Renaud Revel laissant la question en suspend ajoute «Le soutien d’Aurélie Filippetti risque de peser dans la balance. »

Chacun pouvait donc lire que «Parmi les 12 dossiers de candidature déposés au total, Ajdari lhomme des finances de France Télévisions, numéro 2 de la maison et fidèle de Rémy Pflimlin qui lui a donné son feu vert, est  candidat depuis hier à la succession de Jean-Luc Hees ».

Le Figaro d’ajouter «Martin Ajdari, le secrétaire général de France Télévisions, vient d'officialiser sa démarche en ­interne par le biais d'un courriel envoyé à ses équipes et dont Le ­Figaro a pu prendre connaissance : «Dans un souci de transparence, puisque c'est avec vous tous que je travaille au quotidien, il m'a paru normal de vous informer que j'avais présenté ma candidature, avec ­l'accord de Rémy Pflimlin… »

Mail pas mail ??!!  

Il semble que « ses équipes n’aient pas reçu le moindre écrit à ce sujet » même si le Figaro dit en avoir pris connaissance !

Ce qui est certain, c’est qu’il y a bien eu une petite réunion entre « potes de hautes sphères », Pflimlin en tête pour souhaiter bonne route à Ajdari qui, après douze ans passés au sein de l'audiovisuel public dont cinq en tant que directeur général de Radio ­France (en incluant sa parenthèse à l’Opéra), serait légitime à une telle candidature ! 

C’est donc quasiment la mort dans l’âme que ses collègues le voient partir de France Télévisions - où bien entendu, il ne peut pas plus rester pour préparer ses futures auditions (en parlant d’audition rappelons qu’il en est déjà à deux, ces dernières semaines !) – en lui souhaitant le meilleur pour la suite.

 


 

 

La CGC Presse écrit au président du SPQR face aux suppressions d'emploi qui se multiplient dans la presse écrite.



Dans une récente dépêche de l’AFP dont l’Express se faisait l’écho, le 29/01/14,  dans un article intitulé « Tensions sociales dans la presse écrite », l’agence  évoque la « situation plus que préoccupante de la Presse écrite  où les suppressions d'emploi se multiplient, provoquant des conflits, voire des grèves, mais aussi des mouvements restés jusqu'ici limités par des compromis sur des mesures d'aide au départ mais qui ont tendance à se durcir » .

Extrait :

« Chez Lagardère Active, l'annonce de la mise en vente de 10 magazines en octobre et de réductions d'effectifs dans d'autres titres, soit 350 départs au total, 570 avec les pigistes, avait provoqué une grève de deux jours mi-octobre. Mais après négociations en novembre, la direction a accepté de renoncer aux licenciements et de prendre des mesures de départs volontaires.


Chez Courrier International (groupe Le Monde), l'annonce d'une plan de suppressions de 22 postes équivalent temps plein avait entraîné en octobre une grève de deux jours et demi et la suppression d'un numéro de l'hebdomadaire, puis le vote d'une motion de défiance. Des négociations sociales dans les semaines suivantes ont permis aux salariés d'obtenir une réduction du nombre de postes supprimés et une amélioration des aides aux départs volontaires, a indiqué une représentante du personnel. 


A Nice-Matin, qui compte supprimer 148 postes, seize éditions n'ont pas paru le 21 novembre suite à une grève surprise de deux jours des ouvriers du livre et 100 à 200 salariés du groupe avaient manifesté. 


La rédaction du Parisien s'était mise en grève le 21 janvier pour protester contre le projet de la direction de réduire le remboursement des frais kilométriques, et plus globalement les indemnités de frais de reportage. 


Globalement les rédactions rétrécissent encore. Au moins 300 postes de journalistes seront détruits cette année, selon le Baromètre de l'emploi journalistes 2013. Déjà 2012 avait vu 1.158 suppressions d'emplois dans la presse, dont 600 journalistes. 


Parmi les autres plans de suppressions d'emplois annoncés, le Groupe Sud-Ouest (180 salariés), L'Equipe (71) et 20 minutes, qui va supprimer son service photo.


Au journal La Provence, la prise de contrôle par Bernard Tapie début janvier a entraîné l'ouverture automatique de la clause de cession, qui permet aux journalistes qui le souhaitent de quitter un journal en bénéficiant des conditions d'un licenciement, ce qui devrait entraîner une série de départs volontaires. » 

C’est dans un tel contexte que la CGC Presse a donc écrit au président du SPQR.   


Monsieur le Président, 

Je tiens à vous faire part de la grande inquiétude de la CGC Presse concernant les évènements et le contexte social extrêmement tendu à la République du Centre. 

Vous n'êtes pas sans savoir que le dialogue social, pourtant engagé de manière constructive et responsable de la part de nos délégués a évolué vers une situation de blocage sévère par un manque manifeste d'ouverture de la part de la Direction du groupe. 

Cette position ne pourra mener qu'à une situation préjudiciable à l'ensemble des acteurs dont on mesure les effets aujourd'hui. 

Aussi, je vous saurai de bien vouloir intervenir de manière formelle et franche auprès de la Direction locale, afin que ce blocage puisse évoluer vers une convergence transparente et loyale, indispensable à une poursuite apaisée du processus, néanmoins douloureux, engagé. 

Au delà du cas de la République du Centre, il serait souhaitable que les entreprises adhérentes au SPQR adoptent une attitude sociale proactive et constructive dans le cadre de la mutation de la presse quotidienne et des restructurations qui l'accompagne. 

Les grandes difficultés de la branche dont on mesure les effets par les différents plans de licenciement notamment à la République du Centre, à Ouest-France, à Nice-Matin, Var-Matin mais aussi prévisibles dans le futur doivent impérativement être accompagnés d'un dialogue mature et responsable. 

Seule une concertation et des négociations dans le cadre de GPEC efficaces avec les partenaires sociaux, en amont des différents plans de restructuration sera de nature à limiter les effets néfastes, tant sur les résultats que sur l'image de marque des titres et de la branche, de réactions  légitimées par des politiques de mise devant le fait accompli de processus reposant par un encadrement uniquement juridique au détriment des rapports sociaux. 

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes sentiments distingués.

 
Pascal Jacquesson
 
Président CGC Presse

mardi 28 janvier 2014

Vilamitjana au Téléthon et Landré à l’extérieur !

Depuis le limogeage par Pflimlin de l’ex subalterne de Patino, Philippe Vilamitjana  et son remplaçant à la tête de France 2 par Thierry Thuillier, la chaîne  n’arrive toujours pas à enrayer sa chute enchaînant les contre-performances d’audience particulièrement sur l’acces prime time.


Le 7 octobre 2013, le blog CGC Média publiait à ce sujet un article intitulé «Patino/Pflimlin: la risée du PAF et la bête noire du téléspectateur! »  où il était question des erreurs répétées du trio Pflimlin/Patino/Vilamitjana assisté à la Programmation d’Emmanuelle Guilcher au poste de directrice adjointe et aussi de Philippe Landré en tant que directeur délégué.

Le blog CGC Média a décidé de donner à ses lecteurs « inquiets » des nouvelles pour deux d’entre eux.

Il semble bien que la présidence de MFP (Média France Production) filiale à 100% de France Télévisions ait été proposée à Vilamitjana qui se plaint, d'ailleurs, ici et là, de son désœuvrement depuis sa non-éviction. L'intéressé l'aurait refusé….[ce qui accrédite un peu plus le dépôt d’une candidature de Ajdari son actuel pdg au poste de  président de Radio France !]

Il aurait finalement décidé de s’occuper du Téléthon…. Sans commentaire !

Quant à Philippe Landré l’ex directeur délégué qui travaillait main dans la main avec lui mais aussi avant lui, son départ pour une chaîne française qui diffuse sur les 5 continents,  serait quasiment  acté !

Décidément les propos invraisemblables de Pflimlin chez Thomas Sotto sur Europe 1 n'en finissent pas de faire réagir


Et de trois....

C'est au tour de Média4/20minutes de réagir après  le numéro de claquettes que Pflimlin est allé présenté, hier 27 janvier,  chez Thomas Sotto sur Europe 1.

Le blog CGC Média qui ne cesse de dénoncer las postures de Pflimlin depuis des mois, une fois encore, découvre avec délectation l'article en question que nous vous livrons à nos lecteurs in extenso:



Fidèle à sa réputation d'homme prudent et tout en rondeur, le PDG de France Télévisions a une nouvelle fois manié la langue de bois avec une rare virtuosité, lundi sur Europe 1. Ne confirmant rien, esquivant quasiment tout, Pflimlin ne nous a pas appris grand-chose. "Arrêtez, on dirait un politique !", s'est même exclamé l'intervieweur, Thomas Sotto.



Quelques morceaux choisis : 



• Des difficultés à l'allumage pour Ruquier ? "C'est une émission qui a bien démarré, qui a un concept nouveau, avec notamment l'interaction avec le public. Laurent Ruquier est un grand professionnel, j'ai toute confiance en lui. (...) Nous allons évidemment laisser à Laurent Ruquier le temps de s'installer." 



• Une baisse d'audience de l'information ? "Aujourd'hui, nous avons un niveau qui reste en nombre de téléspectateurs très proche de ce qu'il était avant les présidentielles. (...) Ce qui est important pour nous, c'est de fédérer un public très important. Et ce public, ce n'est pas des parts d'audience, c'est un nombre de personnes, et ce nombre de personnes reste aujourd'hui important (...) sur nos journaux.
• Ce soir ou jamais déplacé ? "Je ne confirme rien du tout. Frédéric Taddeï est chez nous. Qu'il y ait aujourd'hui une réflexion sur l'évolution de la programmation pour la rendre plus efficace, c'est le cas. Mais c'est normal, on réfléchit sur les grilles.
• Le futur talk-show d'Alessandra Sublet ? "Rien n'est fait, absolument rien. Mais on travaille sur les évolutions de grille, évidemment." Avec elle ? "Pourquoi pas, ou avec d'autres."
• Un deuxième mandat après 2015 ? "Aujourd'hui, je suis totalement concentré sur mon mandat. Ne me parlez pas de dans deux ans. On a des problèmes au jour le jour à régler. (...) Nous verrons."
• Des désaccords avec le gouvernement ? "En tout cas, le travail que nous faisons et la signature du contrat et du budget que nous venons de signer montrent qu'on travaille ensemble.
Peut-être Pflimlin retient-il les leçons de son prédécesseur. Patrick de Carolis, qui n'hésitait pas à élever la voix face à l'exécutif, l'a payé de son poste. S'étant attiré les foudres de Nicolas Sarkozy, il n'a pas été reconduit pour un second mandat. Celui-ci a préféré le remplacer par le placide Pflimlin.

Pauvre télé publique qui n'en finit pas de sombrer !




Pflimlin pris à nouveau en flagrant délit de mensonges sur Europe 1...ça continue!


Laurent Guimier qui décortiqué les propos de Pflimlin tenus hier à l’antenne dans l’émission de Thomas Sotto, les qualifie de FAUX ce matin sur Europe 1  s’agissant notamment des audiences du 20h. 

Le blog CGC Média qui, dans son article du 27/01 avait eu la même  analyse sur la version de Pflimlin quant au départ du Loto  ”Le DG de la FDJ n’a pas dû en croire ses oreilles ce matin en écoutant Pflimlin réécrire l’histoire invité de Thomas Sotto sur Europe 1 !” , vous propose un extrait de l’émission.

Extrait du "Vrai-Faux de  l'Info " la chronique de Laurent Guimier. 

Thomas Sotto: "Bonjour Laurent, vous avez écouté attentivement l'interview du patron de France Télévisions, hier matin, dans le cadre de “l’interview vérité” " 

Laurent Guimier: "Oui, Rémy Pflimlin que vous avez interrogé, hier, Thomas sur les audiences du JT de 20 heures de France 2...audiences en baisse qui sont d’ailleurs dans le "Parisien" de ce matin: “Coup de mou sur le 20h” (* ci-après) ...le quotidien qui précise à quel point le 20h00 de Gilles Bouleau sur TF1 a surclassé celui de David Pujadas qui perdu beaucoup de terrain depuis deux ans. 

* Tableau du Parisien du 28/01/14



Mais Pflimlin s’en défend. 

Pflimlin: "Le journal de France 2 a été porté pendant les élections présidentielles comme vous l'avez indiqué aujourd'hui nous avons un niveau qui reste en nombre de téléspectateurs très proche de ce qu'il était avant les présidentielles." 

Thomas Sotto: "Alors quand Rémy Pflimlin affirme que le nombre de téléspectateurs est très proche de ce qu'il était avant les présidentielle, est-ce que c'est vrai ou est-ce que c'est faux ?" 

Laurent Guimier: "C’est FAUX même s’il faut préciser que Rémy Pflmilin ne me facilite pas la tâche en employant le terme pas très précis de “très proche”.... mais si on considère que “très proche” c’est un écart de moins de 5%, alors je dis FAUX. 

J’ai regardé les audiences du 20h de France 2, du lundi au jeudi avec Pujadas, au mois de janvier depuis 2010 – on essaie de comparer des choses comparables -  voilà ce qui se passe:

- en janvier 2010: tremblements de terre à Haïti audience en hausse, le JT rassemblant en moyenne 5,2 millions de téléspectateurs.
- Un an plus tard, en janvier 2010: “Révolutions arabes”, là ça ne mobilise pas les foules devant la télé, il y a peu plus de 5 millions de téléspectateurs seulement qui regardent Pujadas.
- Encore un an plus tard, en 2012, la présidentielle affole les compteurs ...en janvier François Hollande est déjà en pleine campagne, Hollande est déjà en pleine campagne, Sarkozy est dans les starting-blocks. Résultat, le 20h00 de France 2 bat tous ses records pour un mois de janvier,  presque 5,5 millions téléspectateurs tous  les soirs en moyenne. Le2 0 janvier 2012, il s'approche même à quelques centaines de milliers de téléspectateurs du 20h00 de Laurence Ferrari sur TF1." 

Thomas Sotto: “Donc en janvier 21012, ça allait très bien et après....” 

Laurent Guimier:  “Deux ans plus tard, le 20h00 de Pujadas n’a pas réussi à maintenir ses scores de l’époque avec seulement 4,7 millions téléspectateurs en janvier 2014, du lundi au jeudi.... il n’a pas retrouvé son score d'avant la présidentielle ...”

CQFD 

lundi 27 janvier 2014

Le DG de la FDJ n’a pas dû en croire ses oreilles ce matin en écoutant Pflimlin réécrire l’histoire invité de Thomas Sotto sur Europe 1 !

Le DG de la FDJ n’a pas dû en croire ses oreilles ce matin en écoutant Pflimlin réécrire l’histoire invité de Thomas Sotto sur Europe 1 !
 A la question du journaliste, « Le député Stéphane Travert député PS de LA Manche rapporteur à l’Assemblée du budget de l’audiovisuel public 2013, indique que la perte du loto représente plus de 10 millions d'euros de recettes publicitaires. Pourquoi avoir laissé filer le loto ? », Pflimlin répond le plus fallacieusement qui soit « Nous n’avons pas laissé filer le loto comme vous dites » et rejette la responsabilité de ce départ sur La Française des jeux. 

Ben voyons !!!!! Pflimlin d’ajouter « Les recettes étaient de l’ordre de 13M€, nous aurons 8M€  à l'arrivée donc que c'est un différentiel moins important. »

Ces chiffres sont de toute façon FAUX… il s’agit de 14 M€  et de 7M€ qui pourraient rester en journée. 

Qu’à cela ne tienne Plimlin déroule et Thomas Sotto de le couper, assez étonné tout de même : «C’est quand même un différentiel de 5M€ !!!! »

Pas grave ! Pflimlin n’en est pas responsable, non : « C’est La Française des jeux »  

Pflimlin de réécrire l’histoire « C'était la Française des jeux ne voulait plus avoir le tirage sur nos chaînes – et là on revient au point de la publicité – et c’est ce qu’a dit précisément le président de la Française des jeux qui ne voulait plus avoir le tirage sur nos chaînes sans pouvoir l’entourer publicitairement. Il voulait pouvoir communiquer publicitairement autour de ces tirages. C'était impossible sur France Télévisions donc il a décidé d'aller sur une chaîne  commerciale doit faire la publicité autour des tirages».

Les oreilles du Président de Française des jeux Christophe Blanchard-Dignac ont dû siffler comme celle du DG Patrick Buffar !

Si cela avait été vrai, que Pflimlin explique pourquoi la FDJ aurait signé avec lui la reconduction du Loto pour 2011 alors qu'il n'y avait déjà plus de pub sur les chaines de France télé après 20h !!!!!
 
Il faut quand même oser tenir de tels propos à 100.000 lieues de la réalité.. Rappelons que le blog CGC Média y avait consacré dans le contexte, notamment un long dossier dans un article intitulé « Daniel Saada nomme un « numéro deux » à la régie pub de FTV…la charrue avant les bœufs ! »  qui venait en écho à ce qu’avait déjà largement commenté la Presse de l’époque, entre autres « Le Canard enchaîné » mais aussi TVmag dans  un des premiers articles sur le sujet "Exclusif : Le Loto revient sut TF1 en janvier 2014".


Voilà ce qu’écrivait, du reste, ce dernier : "La Française des Jeux ne serait pas satisfaite de son traitement par la chaîne publique, notamment en raison d'un manque de régularité dans la programmation qui ne correspondrait pas au cahier des charges".


« Le Canard enchaîné » du 10 septembre 2013 publiait, du reste entre guillemets des passage d’un courrier et écrivait «  Le 24 avril, Patrick Buffar 5 (#) PDG de la française des jeux (FDJ), avait envoyé une belle lettre de mise en garde à France 2 pour se plaindre du non-respect des accords et de « plusieurs incidents graves » : des spots Euro Millions payés mais non diffusés, des émissions reportées à des horaires inacceptables. 
(#)  Patrick Buffar est DG La Française des jeux, c'est  Christophe Blanchard-Dignac qui en est le PDG Patrick .

Exemple : l'Euro Million repoussé en 2013 entre minuit et 1h 30.

Buffard et la FDJ, détenue au deux tiers par l'État, ont alors proposé une rencontre publique pour calmer le jeu et, entre autres, ramener l'Euro Millions à 20h40. Mais l'accueil a été si chaleureux que Buffard a préféré aller taper chez le concurrent privé, TF1, qui récupérera donc le loto, le Keno et l'Euro Millions en janvier 2014 ».





Alors le couplet de Pflimlin sur « ce qu’a dit précisément Patrick Buffar, le Président de la Française des jeux, à savoir qui ne voulait plus avoir le tirage sur les chaînes de France Télé sans pouvoir l’entourer publicitairement », ça ne trompe personne.


Pas plus que cette pitoyable mais inutile pirouette de Pflimlin qui indique que « les recettes pub en journée des spots de la Française des Jeux rapporte encore 8M€ », ne convainc qui que ce soit.


D’ailleurs pour être le plus pragmatique et le plus logique qui soit, ces spots « d’entourage publicitaires » comme les qualifie Pflimlin, n’ont d’autre finalité que de renvoyer les téléspectateurs sur TF1 qui avec Jean-Pierre Foucaud, a mis le paquet pour s’assurer du marché.



(*) "Le tourbillon de l’amour" qui n’a passionné personne avec moins de 250 000 personnes, soit 3.4% du public présent devant son petit écran entre 16h05 et 16h50 et dont la diffusion a été interrompue après quelques jours seulement.

Voici l'article en question
"Le patron de France TV a négocié en personne l’acquisition de la série.

On peut dire que ça barde dans les couloirs de France 2: les équipes doivent programmer, chaque après-midi, “le Tourbillon de l’amour” – un feuilleton allemand auprès duquel “les Feux de l’amour” passeraient pour du Truffaut -, sans avoir jamais été associées à ce choix. La série fait d’ailleurs un flop d’audience retentissant.

Qui leur a collé ce boulet ? Certains font porter le chapeau à l’ex-directeur de France 2 Jean Réveillon, qui a depuis quitté le groupe. Selon nos informations, la réalité est un peu différente : c’est Rémy Pflimlin (photo) qui a mystérieusement négocié, en direct, cet achat de 4 à 5 millions d’euros auprès du distributeur de programmes Patrick Clément. Lequel a une autre casquette : il conseille pour sa communication la Française des Jeux, un partenaire de France Télévisions.

Article paru dans Le Nouvel Observateur du 11 avril.
Il semble bien que le fait que cette lettre du « 24 avril 2013, signée du PDG de la Française des jeux (FDJ), Patrick Buffar, envoyée pour se plaindre du non-respect des accords et de plusieurs incidents graves » soit restée lettre morte et que le fait que Pflimlin  soit directement en affaire avec Patrick Clément, le conseiller de la même FDJ, n’y soit pas étranger !
Et la notion de conflit d’intérêt dans tout ça !!!!!!!!
A si Thomas Sotto avait eu tous ces éléments de réflexion, pas évident que Pflimlin ait tenu les mêmes propos et raconté que « C'est dommage que le Président de la Française des jeux, ait pris cette décision qui est l’illustration concrète qui nous affaiblit durablement… » !
Chacun aura donc compris que le restant de l’interview donnée par Pflimlin à Thomas Sotto est du même tonneau.
Une fois encore, il a joué les  victimes de ce « vilain » État coresponsable de la situation mais aussi de l’avenant au COM qui engage les 2 parties et « qu’il conviendra de réviser au cas où les engagements ne pourraient être tenus… ».