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mercredi 24 juin 2015

Olivier Schrameck n'est absoulment pas victime d'un complot mais de sa conduite et de ses excès.

La fin de semaine devrait dure pour Olivier Schrameck après avoir lu le quart de page publié dans le "Canard enchaîné" de ce mercredi. (juste après ce texte de présentation) 

Celui que François Hollande nommait à la présidence du CSA en 2013 après qu'il ait "un peu géré la France" lorsqu'il était directeur de cabinet de Lionel  Jospin et avant que ce dernier ne quitte définitivement la politique, devrait probablement ressentir quelques brûlures d'estomac.

 

Celui dont le journaliste indépendant Guillaume Evin, auteur du "Livre noir du CSA" (Editions du Moment), détaillait le salaire ainis pour le « Huffington Post »:
 
Traitement de fonctionnaire hors échelle: 82.986 euros brut annuels
Indemnité de fonction forfaitaire: 58.658 euros brut annuels
Primes et avantages en nature: 43.000 euros.
Soit un total d'environ 184.000 euros brut annuels...
et qui comme dans les cabinets ministériels a des gens à son service - ce qui faisait écrire récemment au Figaro «….Olivier Schrameck a mis en place «une organisation semblable à celle d'un cabinet ministériel. Huit personnes lui sont directement rattachées, c'est du jamais-vu, surtout à un moment où l'on demande à tout le monde de se serrer la ceinture» - devrait ne pas vraiment goûter, ni le titre, ni les premières lignes publiées par le palmipède:

Le supplice du CSA.

"SORTEZ-MOI de là, je ne suis plus une célébrité". Voilà qui ferait une bonne émission de téléréalité et Hollande activant le bouton du siège éjectable. 

Combien de temps le cirque peut-il encore durer au Conseil supérieur de l'Audiovisuel?... "

Sur les nominations à Radio France et France Télévisions, "Le canard" écrit "Cornaqués par une petite bande de lobbyistes Pascal Houzelot et Denis Pingaud avec leur ami David Kessler (ex conseiller médias de Hollande) le patron du CSA  a mis en orbite Mathieu Gallet pour Radio France et Delphine Ernotte pour France Télévisions dont la nomination aux forceps est visée par cinq plaintes et recours, pas moins" avant de s'exclamer  : "Et la farce n'en finit plus".




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