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dimanche 26 février 2017

Jean-Louis Borloo ne rejoindra probablement pas Emmanuel Macron sauf…



Jean-Louis Borloo ne rejoindra probablement pas Emmanuel Macron sauf… 

Après l’annonce, ce vendredi 24 février du Parquet National Financier (PNF) de l’ouverture d’une information judiciaire pour "détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d'influence et manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique"(selon le  communiqué) comme suite à l'enquête sur les emplois présumés fictifs dont auraient bénéficié l'épouse de François Fillon et deux de ses enfants, la campagne pour la présidence de la République continue de s’enfoncer chaque jour un peu plus dans le grand n’importe quoi. 

Quel spectacle donnons-nous à nos voisins européens et à la communauté internationale ?!

Hier, l’ensemble des média s’est  emballé sur l’invitation à dîner par Emmanuel Macron candidat à la présidentielle, de l'ancien chef de file du centre droit, ce dimanche soir, Jean-Louis Borloo. 

Il se dit en coulisses que le dîner pourrait se situer dans le prolongement du déjeuner au Terminus Nord près de la gare, entre le même Borloo et Jean-Paul Delevoye chargé des investitures chez Macron…ce dernier n’ayant, semble-t-il, pas réussi encore réussi à le convaincre ; pourtant certaines « mauvaises langues » affirment que ce serait déjà fait… sauf !!!!!!

Sauf si après cette gangue judiciaire tous azimuts qui ne peut que décrédibiliser un peu plus, celles et ceux qui s’y retrouvent enfermés, un plan A voyait le jour ! 

Le plaidoyeradressé à François Hollande par la romancière Christine Angot parue dans Le Journal du Dimanche où elle exhorte le président de la République à se représenter à la présidentielle  pour ne pas laisser la France « se désintégrer » et aller « dans le mur » : « Vous ne pouvez pas laisser le pays se désintégrer (…) Vous ne pouvez pas quitter le navire comme ça. Pas en ce moment. Il faut que quelqu’un fasse quelque chose, et il faut que ce soit vous. Il n’y a plus que vous. Ayez le courage. Relevez le gant » ??

Si l’analyse est juste et sans appel, ils sont de plus en plus nombreux à appeler de nouveau à un sursaut: un plan A pour justement éviter à la France de « se désintégrer » et d’aller « dans le mur »…et que les électeurs comme le disent de nombreux commentateurs, aillent voter en se pinçant le nez.

Un plan A !...ni un plan B, ni un plan F.  

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