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dimanche 9 avril 2017

Pas de débat à 11 sur la télé publique…l’ex Orange fait désormais l’unanimité contre elle.



Pas de débat à 11 sur la télé publique…l’ex Orange fait désormais l’unanimité contre elle.

Les salariés de France Télé, les téléspectateurs qui se détournent des chaînes du groupe,  les producteurs, les politiques, la presse, les média, à de très rares exceptions près, l’ex Orange fait désormais l’unanimité contre elle. 

C’est pour tenter d’éviter une « catastrophe industrielle » annoncée que beaucoup tirent la sonnette d’alarme aujourd’hui.

Dans quinze jours la France aura un nouveau Président de la République et il est hors de question - quel que soit le résultat – que la chienlit, à 3 milliards d’euros l’année, continue.

Dernière épisode de la pitoyable dégringolade depuis l’été 2015 de France Télé – du jamais vu, en l’espèce -  une télévision publique, en l’occurrence France 2, absente du débat du premier tour de la présidentielle où les onze candidats n se retrouveront donc pas.

Dans un article signé Renaud Revel intitulé « France2 piégé par le débat présidentiel », le JDD de ce weekend n’y va pas par quatre chemins : «  C'est dans ce contexte orageux, face à un service public fragilisé, que BFM TV tente de pousser son avantage : 5,5 millions de téléspectateurs ont en effet suivi le débat de mardi dernier… ». 

L’émission organisée conjointement par BFM TV et CNews a devancé très largement, ce soir-là, l’ensemble de ceux des autres chaines.


« L'annulation du grand rendez-vous du 20 avril provoque un malaise au sein de la rédaction de France 2. La chaîne est-elle en train de perdre son leadership sur la politique au profit de BFMTV? », enchérit le JDD.  
« L'ajournement, faute de combattants, du grand débat que prétendait organiser France 2 le 20 avril dans le cadre de la présidentielle, suscite un profond malaise et de vives tensions au sein de la rédaction d'une chaîne abasourdie car jamais un tel cas de figure ne s'est produit dans l'histoire de la télévision publique. Et ce n'est pas la série d'entretiens individuels [annoncée !! et à quoi cela va-t-il servir ???, ndlr]  imaginée, le même jour, avec les onze candidats du premier tour, interrogés par David Pujadas et Léa Salamé, qui est de nature à calmer la colère. », appuie là où ça fait mal, l’hebdomadaire dominical.

Le monsieur info maintenu en place par Ernotte malgré une défiance au 2/3 de la Rédaction « n'aurait pas tous les codes pour mener à bien les tractations avec les états-majors des différents candidats » et qui plus est n’aurait pas tenu compte de la concurrence « On reproche, par ailleurs, à l'ancien journaliste de LCI et d'Europe 1 d'avoir choisi une mauvais date et engagé tardivement les discussions, quand les responsables de BFMTV et de CNews travaillaient au corps, depuis des semaines, les entourages et leurs poulains » 

Quant aux « humeurs » de l’ex Orange vis-à-vis de BFM  le cas échéant – malgré les ridicules propagandes récurrentes de l’intéressée – elles n’émeuvent pas Hervé Béroud le directeur de la rédaction de la première chaîne d’infos de France qui déclare "France Télés est libre d'avoir un point de vue. Mais jusqu'à preuve du contraire, ce sont les candidats qui décident". 

Le péremptoire trio Field/Couture/Ernotte serait donc bien sur un siège éjectableLa semaine qui vient et la suivante pourraient d’ailleurs bien, être l’occasion de nouvelles explosions.

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