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samedi 18 février 2017

Présidentielle 2017: un candidat de dernière minute!



Présidentielle 2017: un candidat de dernière minute!


Découvrez cette candidature de dernière minute sous la plume d'Aurélie Jacquand de France Bleu Champagne-Ardenne (14/02/17)

"Présidentielle : les conseils de Pierre Dac aux candidats
42 ans après sa mort, l'humoriste châlonnais Pierre Dac (né à Châlons-sur-Marne le 15 août 1893) est officiellement devenu candidat à la présidentielle, à titre posthume. Une "blague" née dans l'esprit de son légataire universel Jacques Pessis, qui entend donner des conseils aux candidats à travers les textes de Pierre Dac.
Une blague oui, mais pas que. "On s'est dit que la campagne était totalement loufoque, donc que Pierre Dac y avait toute sa place". ..
"On a même un comité de soutien et les 500 signatures nécessaires, grâce aux personnages de Pierre Dac", explique-t-il. Des personnages aussi loufoques que cet "essayeur de sucettes dans une confiserie clandestine", par exemple.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir le communiqué.
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2017 :

PIERRE DAC CANDIDAT, A TITRE POSTHUME

UNE CANDIDATURE FANTÔME ? NON !... CELLE D’UN HOMME D’ESPRIT.

« Les choses étant ce qu’elles sont, c’est-à-dire n’étant pas ce qu’on voudrait qu’elles soient », dans une campagne qui s’annonce particulièrement loufoque, il nous a semblé que Pierre Dac avait sa place.  Pour cette raison, "Le Parti d’en Rire" (*) a décidé de présenter son créateur, aux élections Présidentielles, à titre posthume.

« Rien de ce qui est fini n’est jamais complètement achevé tant que tout ce qui est commencé  n’est pas totalement terminé ». La preuve… Voici un peu plus d’un demi-siècle, en 1965, lors de la première élection du Chef de l’État au Suffrage Universel, Pierre Dac avait posé sa candidature à la Magistrature Suprême, sous l’égide du M.O.U., le Mouvement Ondulatoire Unifié, avec pour slogan « les temps sont durs, vive le M.O.U. ! ».

En 2017, il est toujours d’actualité, comme les grandes et petites réformes que Pierre Dac proposait alors pour la France. Des promesses pas toujours destinées à être tenues, comme le veut la tradition électorale. En voici quelques exemples…

-        La politique des revenus ne sera pas celle des partis.

-        Un ministère des Portefeuilles vides ne sera pas créé. Parce que cela doublonnerait avec le ministère des Finances.

-        A la question, «  que pensez-vous du ministère de l’Education Nationale ? », le Parti d’en rire répond: « il nous paraît urgent d’en créer un ».

-        Dans les villes, la vitesse de la lumière sera limitée à  299 000 km/s.

-        Pour sauver la circulation dans des villes au bord de l’asphyxie, une mesure écologique sera prise : la mise en place de la pratique du bouche à bouche de métro.

-        Des mesures seront prises pour relever le SMIC avant qu’il ne tienne plus debout.

-        Le 49 /3 ne sera pas abrogé, mais ainsi complété : sans dérogation spéciale accordée par le Conseil d’Etat, le Premier ministre ne pourra engager à son bénéfice personnel tout meuble, toute vaisselle appartenant au Mobilier National.

-        Les élections Législatives seront décalées de quelques semaines afin de permettre aux députés sortants de trouver un nouvel emploi.

Des premières propositions avant beaucoup d’autres que le Parti d’en rire ne manquera pas de dévoiler à travers un déblog-notes , dans un délai légal, c’est-à-dire à la veille des jours prochains.

LE PROGRAMME OFFICIEL DE PIERRE DAC DANS PIERRE DAC, PRESIDENT, LE PARTI D’EN RIRE (cherche-midi éditeur)
…/
LE  COMITE DE SOUTIEN A LA CANDIDATURE POSTHUME DE PIERRE DAC

Premier vice-Président : GEDEON BURNEMAUVE
Ancien vérificateur en faux poids et demi-mesures
Dernier vice-Président : NICOLAS LEROIDEC
Auteur de l’Essai sur le slip à pont-levis depuis Henri III jusqu’à vendredi prochain
Secrétaire général particulier : SLALOM JEREMIE MENERLACHE
Essayeur de sucettes dans une confiserie clandestine
Comité de direction assistée :
GKW VAN DEN PARABOUM
Maire de Mouchabeuf-en-tournée, entre Morzy-les-Gracieuses et Issoubly-sous-l’Huy
SOSTHENE VEAUROLE
Interne des hôpitaux, en qualité de malade
RAPHAEL FAUDERCHE
Frère du second
JULES FAUDERCHE
Frère du premier
NAPOLEON BOUGNAPLAT
Traducteur officiel en yaourt et en moldo samovar des textes de Mordicus d’Athènes (186-83, au fond de la deuxième cour à droite, avant JC)
Vive le Parti d’en rire, Vive la République, Vive la France, Vive la Caisse autonome d’amortissement de la Sécurité Sociale, et à la prochaine, si toutefois c’est là que vous descendez.

(*) "Le Parti d'en rire" est un parti politique humoristique créé dans les années 50 par Pierre Dac et Francis Blanche. Son hymne a été interprété par ses créateurs ainsi que par les quatre barbus. Un spectacle du même nom avait d'ailleurs été interprété par Jacques Pessis, fils adoptif de Pierre Dac, en 2012

vendredi 17 février 2017

Renaud Muselier appelle François Fillon à « prendre une décision intelligente » !



Renaud Muselier appelle François Fillon à « prendre une décision intelligente » !

Le Sarkozyste député européen (LR) Renaud Muselier, n’y va pas avec le dos de la cuiller, c’est e moins qu’on puisse dire !

C’est probablement ce qu’a dû se dire Alexandre Sulzer le journaliste qui a recueilli ses propos pour l’interview qu’il donne à "L’Express". 


Chacun aura bien évidemment compris ce que Renaud Muselier appelle Fillon à faire…renoncer pour éviter de plomber plus avant  une campagne qui - n’ayons pas peur des mots – pue déjà assez comme ça.

Extrait (cliquez ici pour l’intégralité de l’interview)

Renaud Muselier qui réagissait à la communication du parquet national financier de mercredi 15 février « excluant tout classement sans suite » de l’enquête concernant notamment  les emplois de Penelope Fillon, demande à François Fillon de réfléchir "en son âme et conscience" sur le maintien de sa candidature à la présidentielle. 

A.S: Le parquet national financier a exclu "en l'état" le classement sans suite dans l'affaire Fillon. Qu'en pensez-vous? 

R.M: Ce qui me gêne le plus, c'est que l'on assiste à un feuilleton politique dont la partition est véhiculée par la justice. Qu'il y ait une communication du parquet sur une future réponse judiciaire me paraît ahurissant. La justice n'a pas à alimenter les médias sur ce qu'elle compte faire ou pas. Elle doit être juste et non-partisane. Là, il y a un mélange des genres qui me déplaît. 


A.S: Cela fragilise-t-il François Fillon? 
R.M: Ça ne peut que fragiliser François Fillon puisqu'il sera vraisemblablement "accroché" par la justice, l'option où il ne se passait rien pour lui [le classement sans suite] étant tombée. Alors qu'il n'a pas le droit à la présomption d'innocence, il aura du mal. 


A.S: Peut-il rester le candidat de la droite? 

R.M: Il faut qu'il prenne sa décision en son âme et conscience, que voulez-vous que je vous dise... 


A.S: Mais vous, que feriez-vous à sa place? 

R.M: Si j'avais été candidat à la présidence de la République, je ne me serais pas mis dans cette situation.

J'assiste à un naufrage politique, humain, idéologique. C'est une campagne pourrie pour tout le monde. 


Et de conclure


A.S: Que faites-vous pour faire gagner votre famille politique? 


R.M: Je fais campagne [pour l'instant, ndlr] pour celui qui a été désigné comme notre chef en attendant des décisions intelligentes

jeudi 16 février 2017

Nouvelle procèdure pénale à France Télé, contre l'ex Orange et son dircab juste après les récentes condamnations de Carolis et Millot dans l'affaire dite Bygmalion/FTV.



"La Lettre  A" de ce jeudi 16 février 2017 dans son numéro 1764 publie un article intitulé  "France TV : les droits de la femme ou ceux des marchés publics ?



Le blog CGC Média vous propose d'en prendre connaissance:

"France TV : les droits de la femme ou ceux des marchés publics ?

Le code des marchés publics risque de jouer des tours à France TV dans le dossier de la Fondation des femmes.

La journée de la femme traditionnellement organisée le 8 mars sera avancée d'une semaine chez France télévisions. C'est le 1er mars que sont appelés à comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris Delphine Ernotte-Cunci, PDG du groupe audiovisuel, Stéphane Sitbon-Gomez, son directeur de cabinet mais aussi Anne-Cécile Mailfert, sa compagne à laville et présidente de l'association de préfiguration de la Fondation des femmes. Sans oublier Maxime Ruszniewski, président de la société Pardi. (*) 

A l'origine de la citation directe déposée par le Syndicat national des personnels de la communication et de l'audiovisuel (SNPCA) contre les quatre dirigeants ? Le non-respect du code des marchés publics que France TV (LLA nº1749) aurait dû appliquer quand il a commandé à la société de Maxime Ruszniewski, par ailleurs administrateur de l'association de préfiguration, trois courts-métrages défendant les droits des femmes pour 40 000 euros selon le syndicat.

Représenté par le cabinet d'avocats FWPA, le SNPCA ne plaisante pas. Les faits reprochés vont du délit de prise illégale d'intérêt passible de 500 000 euros d'amende et de cinq ans de prison au recel de prise illégale d'intérêt en passant par le délit de favoritisme passible de 200 000 euros d'amende et de deux ans de prison. Outre le fait que France TV a financé à hauteur de 8 000 euros l'association en dépit de la relation existant entre Stéphane Sitbon-Gomez et Anne-Cécile Mailfert, la fondation n'a jamais produit de statuts. Elle est inconnue à la préfecture de Paris et d'Ile-de-France. Fâcheux."


(*) Afin de resituer la plainte déposée par citation directe en Correctionnelle, le blog CGC Média vous propose de retrouver l'article du Canard enchaîné du 17 mars 2016 "A France Télévisions, les droits de la femme nourrissent  son homme" (ci-après) et la mise au point cinglante faite par André Bercoff suite à une missive du seul et unique actionnaire de "Pardi"  Maxime Ruszniewski qui lui était adressée  suite à son  enquête intitulée "Pouvoir et médias: je te tiens tu me tiens."

"- Je n'ai pas suscité la création de la Fondation Égalité-Mixité qui existe toujours et à laquelle la Fondation des femmes n'a pas succédé (les deux structures n'ont aucun lien).
- Les clips contre le sexisme cités ont été commandés bien avant le lancement de la Fondation et n'ont strictement aucun rapport avec elle.
- Je n'ai pas reçu à titre personnel 50.000 € : la somme versée par le groupe
[France Télé, ndlr] suit une commande de leur part correspondant au coût total de production de 3 clips."


1) C'est Nadjat Vallaud-Belkacem et son ministère qui ont soutenu la création de la Fondation Égalité- Mixité et sa campagne de communication virale le 2 juillet 2014. Or, Maxime  Ruszniewski était conseiller partenariats du cabinet de Nadjat Vallaud-Belkacem d'avril à août 2014.

Quant aux liens entre les deux structures, elles sont toutes deux hébergées chez la FACE (Fondation Agir Contre l'Exclusion) et ont choisi le même mode d'action par le biais de campagnes de communication virales.
Enfin, Maxime Ruszniewski était annoncé comme le cofondateur de l'agence qui a réalisé le clip de la Fondation Égalité-Mixité, tout comme il est le fondateur de la société Pardi qui a réalisé les trois nouveaux clips de la nouvelle fondation.

2) La fondation été créé en septembre 2015. Difficile de croire que les clips ont été commandés avant cette date...

3) C'est en effet la société Pardi qui a été réglée, mais celle-ci étant une Sasu, c'est-à-dire une société par actions simplifiées… unipersonnelle, il en est à la fois le président et le seul et unique actionnaire."