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vendredi 14 avril 2017

Après la botte de Nevers, l'expulsion à la Fillon...le triumvirat Field/Couture/Ernotte en rit encore!

Après la botte de Nevers, l'expulsion à la Fillon...le triumvirat Field/Couture/Ernotte en rit encore!

Le blog CGC Média ne résiste pas à vous faire découvrir l'excellent article posté p le Expulsés du meeting (toulousain) de François Fillon pour cause de… «manque d’enthousiasme »

été reconduits vers la sortie manu militari. Motif invoqué par le service de sécurité du candidat : « pas assez d’applaudissements ».



Decouvrez l'édifiant article de France 3 Occitanie.

Extrait:

"C’est vraiment une drôle de campagne. Jeudi 13 avril, François Fillon a tenu un meeting au Zénith de Toulouse. Quelques minutes après le début, un groupe de trois personnes quitte le bâtiment et traverse le parking. Sur leur route, ils croisent une équipe de France 3 Occitanie et racontent une histoire étonnante. Ils viennent d’être expulsés du Zénith. Selon leur témoignage, la sécurité leur a demandé de quitter les lieux. Pour les 3 « indésirables », c’est l’organisation du Zénith (sur ordre de l’équipe de François Fillon) qui a demandé leur expulsion.

Avant d’être raccompagnés vers la sortie, les 3 compagnons d’infortune ont demandé une explication. Elle a fini par tomber : « pas d’assez d’applaudissements ».

Les 3 expulsés reconnaissent eux-mêmes qu’ils ne débordaient pas d’enthousiasme. Simples curieux, ils souhaitaient simplement se faire un avis.  Au moment de leur « interpellation », la sécurité a demandé si les 3 « trublions » sont encartés chez Les Républicains. Ce n’est pas le cas. Il s’agit de 3 curieux, professions libérales dans la vie et à la ville. Ils souhaitaient juste « voir et écouter ».
Visiblement, ce n’est pas suffisant.

Le père de l’un des « refoulés » était présent dans la salle du meeting. Il confirme les faits et il ne cache pas sa colère.
Comme son fils, il n’a pas souhaité témoigner à visage découvert, face caméra mais  quelques minutes après l’incident, le père a bombardé son entourage de sms rageurs.

Du côté de l’équipe toulousaine de François Fillon, la première réaction est : « c’est du délire« . La seconde est : « aucun écho de cette affaire. Faut voir avec l’équipe nationale ».

Contacté par France 3 Occitanie, l’entourage de François Fillon reconnait avoir procéder à l’exfiltration de 3 participants. L’attitude des expulsés et une question de sécurité sont invoquées :

Les 3 personnes se trouvaient dans un endroit dangereux pour la sécurité du candidat. Ils avaient effectivement une attitude de neutralité qui pouvaient les rendre suspects.

Les futurs participants aux meetings de François Fillon sont prévenus. Pour leur tranquillité, il est préférable d’applaudir et évidemment des deux mains."

Field pour sanctionner Couture à France Télés

Field pour sanctionner Couture à France Télés.

Le  numéro 517 de "Challenges" qui sort ce 13 avril 2017, donne le ton.


"Dans cette période d'élections, il ne sera toléré aucun dérapage sous peine de sanction immédiate" avertit Michel Field le monsieur info de l'ex Orange dans une note adressée aux salariés de France Télévisions.



Le tweet pro Fillon de Xavier Couture Numérobis chargé des programmes à France Télés "François est au dessus du lot" devrait donc tomber sous le coup de ladite note et son auteur lourdement sanctionné... parce que pour le "immédiatement" c'est plié ! 

Couture qui imaginait très vite passer de Numérobis à Numéro 1, devra donc revoir son plan de carrière ! 

Il aura toujours la possibilité de retrouver la boite qu'il connait bien et que « Le Canard enchaîné »  épinglait le 17 février dernier : « Ernotte vient de passer un marché avec un cabinet de conseil en stratégie de marque », JoosNabhan…Pour mener à bien cette lourde mission, JoosNabhan sera épaulé par le vieux pote d’Orange d’Ernotte, Xavier Couture »....et notre petit doigt nous dit que de cela nous allons très vite reparler.
 

jeudi 13 avril 2017

Cinq organisations représentatives au niveau national et interprofessionnel dont la CFE-CGC.

Le 31 mars d2017, la Direction Générale sous couvert du Ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, a fait paraître son Communiqué de Presse concernant les résultats de la mesure de l’audience pour la représentativité syndicale 2013-2016.  (* fin de post)

Extrait:

"Résultats de la mesure de l’audience pour la représentativité syndicale.

Plus de 5,6 millions de salariés se sont exprimés, soit 195.518 salariés de plus que lors de la précédente mesure de l’audience syndicale 2013-2017.

Pour la deuxième fois, dans le cadre de la réforme de la représentativité syndicale issue de la loi du 20 août 2008, l’audience des organisations syndicales a été mesurée au niveau national et interprofessionnel ainsi qu’au niveau des branches professionnelles. 

A l’occasion de cette mesure qui intervient tous les 4 ans, plus de 5,6 millions de salariés se sont  exprimés.

Les chiffres présentés sont le résultat de l’agrégation des scores enregistrés par les organisations syndicales sur le cycle 2013-2016 lors :

- des élections professionnelles (comité d’entreprise, délégation unique du personnel, à défaut délégués du personnel) organisées dans les entreprises d’au moins 11 salariés entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2016 ;

- du scrutin organisé auprès des salariés des très petites entreprises et des employés à domicile du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017 (et jusqu’au 20 janvier 2017 pour l’Outre-Mer) ;

- et des élections aux chambres départementales d’agriculture, pour les salariés de la production agricole, qui se sont déroulées en janvier 2013.

Au total 5 664 031 salariés se sont exprimés en faveur des organisations syndicales de leur choix permettant de conforter ainsi la légitimité de ces dernières en tant qu’acteurs du dialogue social.

La mesure de l’audience : clé de voûte de la représentativité syndicale .

La mesure de l’audience constitue l’un des critères essentiels permettant d’établir la représentativité d’une organisation syndicale. Au niveau national et interprofessionnel, comme au niveau des branches professionnelles, une organisation syndicale doit recueillir au moins 8% des suffrages exprimés et satisfaire aux autres critères de représentativité (respect des valeurs républicaines, indépendance, transparence financière, ancienneté de deux ans, influence, effectifs d’adhérents et cotisations) pour être représentative et donc être en capacité de signer des accords collectifs.

Au niveau national et interprofessionnel, 5 organisations atteignent ce score :

- CFDT : 26,37%
- CGT : 24,85%
- CGT-FO : 15,59%
- CFE-CGC : 10,67%

N.B: Audience de la CFE-CGC dans les collèges électoraux dans lesquels ses règles statutaires lui donnent vocation à présenter des candidats : 19,39 %.
- CFTC : 9,49%
 
Ces résultats ont été présentés aux partenaires sociaux réunis au sein du Haut Conseil du dialogue social (HCDS) le 31 mars 2017 au matin.

(*)





Catherine Lemorton présidente PS de la commission des affaires sociales à l’Assemblée : les révélations de Médiapart qui empoisonnent son candidat Benoit Hamon.



Catherine Lemorton présidente PS de la commission des affaires sociales à l’Assemblée : les révélations de Médiapart qui empoisonnent son candidat Benoit Hamon.
Comme s’il n’y avait déjà pas suffisamment d’affaires dans "cette campagne 2017 qui sent mauvais" (dixit François Hollande  à Franz-Olivier Giesbert dans l’interview qu’il lui donne à paraître dans « L’Obs » du 13 avril), voilà que Médiapart dans une enquête particulièrement étayée et documentée, lance un nouvelle fois l’alerte.
Chacun se souvient de l’affaire dite Cahuzac que le titre de Presse avait révélé et qui avait pourri – n’ayons pas peur de mots – les premiers mois du quinquennat Hollande…il y en a eu d’autres depuis des affaires mais celle nouvelle-ci vaut tout de même son  pesant de cacahuètes.
Catherine Lemorton présidente PS de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale – attention, tout est quasiment là – a « dû embaucher sa propre fille, Léa Lemorton, dans le cadre d'un contrat à durée déterminée du personnel en renfort…après  avoir  viré une collaboratrice en maladie.»
Il semble que du côté PS l’affaire soit prise très au sérieux.

Pour Benoit Hamon qui déclarait publiquement s’agissant de l’enquête préliminaire sur les emplois des filles de Bruno Le Roux éphémère ministre de l’Intérieur "L’exemplarité s’applique à tous. Qu’il est difficile de demander une règle pour les uns et qu’elle ne s’applique pas aux autres…Nous avons aujourd’hui une forme de soupçon qui pèse sur la classe politique et la vie politique tout entière. Il faut pouvoir lever le soupçon et c’est souvent mieux de le faire en prenant des décisions, difficiles, j’imagine, brutales…", l’affaire semble très sérieuse et entendue.

Le premier Secrétaire du PS pourrait donc très rapidement « prendre la décision, difficile et brutale » de retirer Catherine Lemorton l’investiture du parti pour les législatives 2017.

Et comme le dit Médiapart qui cite  cette ancienne assistante administrative qui vivra quelques hauts et beaucoup de bas avec la députée (sic) : « Comme employeur, elle était minable. Elle est censée représenter le peuple. Mais je suis le peuple. Et il faut voir comment elle se comporte. Elle ne mérite pas le mandat qui lui est confié. ». 

Qu’ajouter à cette redite de la position du candidat PS à la magistrature suprême ?! « Elle ne mérite pas le mandat qui lui est confié. Elle est censée représenter le peuple mais le peuple, c’est nous ! »Surement pas ses proches et sa famille !

Le blog CGC Média vous propose de découvrir un extrait de la très longue et édifiante enquête menée par Michaël Hajdenberg pour "Médiapart" mise en ligne il y a quelques jours le 7 avril dernier, intitulée « La présidente de la Commission des affaires sociales de l'Assemblée licencie des assistants en arrêt maladie » 

Extrait :

« Catherine Lemorton (PS) est la présidente de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale.


Cela ne l’a pas empêchée de licencier à deux reprises des assistantes parlementaires en arrêt maladie. D’autres parmi ses anciens collaborateurs ont été humiliés. Et choqués par le comportement d’une députée, chantre de la transparence, qui n’hésite pas à faire profiter ses enfants de l’argent public.

Toulouse (Haute-Garonne), envoyé spécial.- Catherine Lemorton est une députée réputée pour son bagout et son sens de la répartie. Quand il s’agit de parler de sa relation avec ses assistants parlementaires et de son rapport à l’argent public, elle préfère pourtant se réfugier dans le silence. Elle n'a pas retourné nos multiples appels.

Le 16 mars, elle ne s’était déjà pas présentée à l’audience des prud’hommes de Toulouse, lors de laquelle il lui était reproché d’avoir licencié une assistante en arrêt maladie.


Plus gênant encore : selon notre enquête, c’est la deuxième fois que la présidente de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale licencie de la sorte. Nous avons également retrouvé plusieurs de ses anciens assistants qui ont été choqués voire traumatisés par les méthodes de la députée. Mais là non plus, l’élue de Haute-Garonne, toujours prompte à promouvoir la transparence et à dénoncer les « patrons voyous », n’a pas souhaité nous répondre….


Véronique Dufor, elle, ne rechigne, pas à s’exprimer. À 44 ans, elle a envie que tout le monde connaisse le vrai visage de celle qui l’a employée pendant huit ans, avant de la licencier….Avec le recul, elle juge que son premier jour, en septembre 2007, était prémonitoire. « Il était prévu que je remplace à 9 heures quelqu’un qui n’était pas encore informé de son licenciement. » 

Véronique, son ancienne assistante administrative vivra quelques hauts et beaucoup de bas avec la députée. « Comme employeur, elle était minable. Elle est censée représenter le peuple. Mais je suis le peuple. Et il faut voir comment elle se comporte. Elle ne mérite pas le mandat qui lui est confié. »…
 
Médiapart qui publie la lettre de licenciement surréaliste adressée à Véronique, ajoute « embauchée le 1er septembre 2007, les soucis physiques commencent en novembre 2014, avec des douleurs aiguës au coude, qui s’aggraveront de mois en mois. En mars 2015, elle est arrêtée une première fois. Elle revient. Puis est de nouveau arrêtée trois mois. Après ses congés du mois d’août, elle n’est toujours pas en mesure de reprendre, est à nouveau mise en arrêt maladie, et, le 27 août 2015, reçoit une convocation en vue d’un licenciement : «… Comme je vous l’ai exposé, vos absences répétées et prolongées perturbent le fonctionnement de la permanence, il est nécessaire de pourvoir à votre remplacement pérenne. » 

Une autre ancienne assistante parlementaire, Lamia, a versé à l'audience un témoignage sur l’honneur. Catherine Lemorton aurait annoncé à ses assistants qu’elle avait déjeuné avec le directeur de la CPAM et qu’il allait faire casser l’arrêt [maladie, ndlr]. Contacté, le directeur dément. Il explique que Catherine Lemorton lui a bien parlé du dossier mais au sujet d’une question purement technique, « la demandee subrogation. Je n’ai pas le souvenir qu’elle m’ait demandé quoi que ce soit d’autre ».

Quoi qu’il en soit, les conseillers prud'homaux doivent avant tout répondre à une autre question : le licenciement est-il irrégulier car sans cause réelle et sérieuse ? Selon l'article L. 1132-1 du Code du travail, aucun salarié ne peut en effet être sanctionné ou licencié en raison de son état de santé.

Licencier pendant un arrêt maladie n’est pas absolument impossible, selon la jurisprudence. Mais l’employeur doit alors établir « la perturbation du fonctionnement de l’entreprise », et le fait qu’il doive impérativement remplacer le salarié de manière définitive. 

En 2011 déjà, Catherine Lemorton avait licencié une de ses assistantes pendant un arrêt maladie de plusieurs mois. Cette assistante-là, « choquée », n’avait pas eu la force d’attaquer la députée, et six ans plus tard, elle se dit encore trop « traumatisée » pour raconter son histoire. 

Véronique Dufor avait assisté, impuissante, à ce licenciement. Quand cela lui est tombé dessus à son tour, elle a décidé de ne pas se laisser faire. « Car où est la preuve de la perturbation de la structure ? » demande Me Claude Yéponde, qui ne voit pas quel problème insoluble posait l’absence de sa cliente. À l’appui de sa démonstration, il cite des SMS de Catherine Lemorton, qui prend des nouvelles de son assistante et l’encourage à bien se reposer pendant les premiers mois de son congé : le 16 mars 2015 : « Si tu dois continuer à te reposer, tu n’hésites pas. Tu fais prolonger ton arrêt de travail » ; le 8 juin : « Ne te prends pas la tête ! Tu t’arrêtes autant que nécessaire et on s’organise. Bisous » ; le 24 juin, « Pas de problème. On organisera l’équipe en fonction. »…. 

Du matériel informatique pour la famille aux frais du contribuable 

Cependant, Catherine Lemorton n’explique pas pourquoi il était impossible de recourir à un contrat à durée déterminée. D’autant qu’il était de toute façon prévu qu’en octobre 2015, soit un mois plus tard, Véronique parte pour un an en formation…


Par ailleurs, la seconde condition pour pouvoir licencier un salarié pendant son arrêt maladie consiste à l'avoir remplacé « dans un délai raisonnable et de façon pérenne ». Or Catherine Lemorton a bien embauché un nouveau contrat à durée indéterminée (CDI), mais seulement trois mois plus tard, en décembre 2015. 

Pour tenter de démontrer un dysfonctionnement de la permanence en l’absence de Véronique Dufor, Catherine Lemorton fait valoir qu’elle a notamment dû embaucher du personnel en renfort, en l’occurrence sa propre fille, Léa Lemorton, dans le cadre d'un contrat à durée déterminée, du 1er avril 2015 au 31 mai 2015. 

En pleine affaire Fillon, l’emploi familial fait sourire les conseillers prud'homaux. 

Médiapart qui publie également des documents probants comme la facture de l'achat d'ordinateur du 14 janvier 2014 et le courrier de Catherine Lemorton au trésorier de l'Assemblée nationale pour se faire rembourser sur son compte IRFM l'ordinateur, ainsi qu’une des fiches de paie de Léa Lemorton, précise « Plusieurs anciens assistants parlementaires nous ont confirmé le fait qu'à une époque, Catherine Lemorton avait justifié l’embauche de sa fille par le fait qu’elle était « perdue », qu’il fallait lui donner des « repères » et que ce contrat lui permettait de se « raccrocher à quelque chose ». 

Au fil de notre enquête, nous nous sommes rendu compte qu’il n’y avait pas que lors de cette embauche que Catherine Lemorton s’était servie de sa fonction d’élue pour avantager des membres de sa famille. Bien qu’elle ait voté en 2012 un amendement en faveur de la transparence sur les frais de représentation des députés (tout comme son collègue Pascal Terrasse, épinglé sur ce sujet par Mediapart), ses anciens assistants reprochent à la députée de s’être servie de l’argent public pour des dépenses qui n’avaient rien à voir avec l’exercice du mandat.

Ainsi, chaque député peut piocher dans une enveloppe pluriannuelle de plusieurs milliers d’euros destinés à couvrir ses dépenses en équipements informatiques. Mais comme le montrent certaines notes tapées ou manuscrites auxquelles nous avons eu accès, Catherine Lemorton a profité de ce budget pour acheter du matériel à ses filles (ordinateurs, téléphones portables, etc.), avant de se le faire rembourser sur son compte d'indemnités représentatives des frais de mandat (IRFM)… 

Catherine Lemorton n’est certes pas la première députée à fournir un emploi à l'un de ses enfants. Ni à détourner l’argent public de son objet initial à des fins privées. Est-ce pour autant une excuse ? « Quand on a fait de la transparence et de l’éthique son cheval de bataille, on doit le mettre en application au quotidien », juge Lamia, qui a été son assistante pendant plus de quatre ans…. »

Surtout lorsqu’on s'est fait nommer à la Présidence de la Commission des affaires sociales à l’Assemblée Nationale et qu’on ose briguer un nouveau mandat parlementaire de représentation du Peuple….et ce sera le mot de la fin.



mercredi 12 avril 2017

Il ne devrait plus rester beaucoup de monde, en septembre prochain, ni à France 2, ni à France Télé d'ailleurs !



Selon les infos exclusives du blog de Jean-Marc Morandini, « Frédéric Lopez est sur le point d'arrêter son de émission quotidienne "Mille et une vies" diffusée à 14h sur France 2 ». 

« France 2 a donc décidé que si Frédéric Lopez cessait de présenter cette émission, elle ne se poursuivrait pas et ne serait pas confiée à celle qui est joker pour l'instant, c'est à dire Sophie Davant qui réunissait tout de même plus d'un million de téléspectateurs ("Mille et une vies" passant régulièrement sous la barre des 500.000 téléspectateurs) avec "Tout une histoire" arrêtée en 2016 et qu’elle présentait » est-il écrit également sur le blog.

« Les négociations sont en cours avec la direction de la chaîne, même si quoi qu'il arrive l'animateur ira jusqu'à la fin du mois de juin. » est-il enfin précisé.  

Il n'est pas inutile de préciser que celle qui se vante sur tous les toits d'avoir soi-disant "des comptes à l'équilibre...cela n'étant jamais arrivé depuis 2012 (du temps de feu Rémy Pflimlin qu'elle pleurait sur le plateau du JT de la chaîne en disant tout le bien qu'elle pensait de lui !)" et qui s’apprête, juste après l'élection du nouveau président de la République, à annoncer avoir décidé de changer la marque France Télévisions, ne fait plus recettes. 

A commencer par les recettes pub qui rentrent de moins en moins, contrairement à ses dires sur la relative bonne santé du groupe et les éternelles et pathétiques propagandes sur l'air de "c'est qui les meilleurs, les plus forts ? C'est FTV!"

Il ne devrait plus rester beaucoup de monde, en septembre prochain, ni à France 2, ni  à France Télé d'ailleurs...et pas que chez les animateurs !