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vendredi 5 mai 2017

L'ex Orange imagine-t-elle sauver sa tête en se jetant sur Brigitte Macron pour l'embrasser ?

L'ex Orange imagine-t-elle sauver sa tête en se jetant sur Brigitte Macron pour l'embrasser

L'image de l'ex Orange avait dans sa tenue camouflage se précipitant sur Brigitte Macron accompagnant son mari la à Plaine Saint Denis dans le studio l’émission politique du 3 mai dernier, n'est pas passée inaperçue...c'est peu dire.


Jacques Maillot, Élina Dumont et Gilles-William Goldnadel en étaient les invités. Ils n'ont pas mâché leurs mots contre celle que Schrameck a parachuté à France Télés sans aucune connaissance du secteur à France. Field son monsieur info lui a par ailleurs emboité le pas.

Alain Marshall dénonce "l'entre-soi démontré aux yeux du grand public" que cette bise du tandem Field/Ernotte révèle.

"On a tous été choqué...c'est assez maladroit" ajoute son compère radio qui parle de "connivence"

"Une faute" dit Jacques Maillot qui ajoute "Elle ne se rend même pas compte, c'est grave; elle est nulle par ailleurs...ça c'est autre chose...

Regarde l'état du Servie Public: Rien! Elle a des résultats catastrophiques, calamiteux...elle s'inquiète de la suite de son mandat qu'elle n'est pas sure de terminer...Remplacez Ernotte...etc"

Oui, comme enchérit Alain Marschall "on peut certes embrasser des amis avec qui on n'est pas d'accord" mais là, tel n'est pas le cas...il est bien peu probable qu'une bise de circonstance à madame suffise à monsieur pour qu'il maintienne les choses en l'état!




mercredi 3 mai 2017

Vous avez vu les mines catastrophées de Nathalie Saint-Cricq et Christophe Jakubyszyn?!

Triste spectacle que cette émission d'avant second tour où sans misogynie aucune, la candidate frontiste se donne en spectacle, ne répond quasiment jamais aux questions et enchaîne les inepties en répétant à Emmanuel Macron qui est heureusement d'un calme olympien "calmez-vous"!

Il suffit de voir les mines catastrophées de Nathalie Saint-Cricq et Christophe Jakubyszyn pour le comprendre.  

Le blog CGC Média vous propose toutefois de découvrir une synthèse du programme sidéral de la candidate frontiste.   

 

Excellent Yann Barthes qui dans "Quotidien" sur TMC diffuse le remarque de la candidate FN sur l'ex Orange.

Quelques minutes avant le débat entre Emmanuel Macron et la candidate Frontiste, Yann Barthès a dévoilé dans son émission Quotidien, les images de l'arrivée de la fille de Jean-Marie Le Pen mais surtout la petite réflexion prise au vol par les caméras de TMC destinée à l'ex Orange.

Ce mercredi soir, dès le début de l'émission Yann Barthès a prévenu les téléspectateurs qu'il avait prévu de rendre l'antenne quelques minutes avant le commencement du "débat"...si tant est que le mot ait un sens pour celle qui a passé une bonne  trentaine de minutes à ne pas répondre aux questions prenant systématiquement à partie son contradicteurs et perdant régulièrement ses nerfs contre lui.

L'émission de TMC a donc diffusé quelques images de l'arrivée de la candidate vers 19h30 à la Plaine Saint-Denis, sur le lieu de tournage où les téléspectateurs la voient sortir d'un fourgon noir, accompagnée de Louis Alliot  avec ses deux gardes du corps. 

Le sourire forcé qu'elle s’évertuera vainement à ne pas perdre, elle serre la main de plusieurs responsables de chaînes alignés en rang d'oignons dont l'ex Orange que son déférent voisin de gauche (à l'écran) Olivier Schrameck a parachutée à France Télé, un an et demi plus tôt.

Yann Barthès annonce ensuite que l'équipe de Quotidien a isolé une séquence et demande aux téléspectateurs de "tendre l'oreille".

Pendant que la candidate de l'extrême droite se dirige vers les coulisses, on l'entend dire aux personnes qui l'accompagnent : "Elle était crispée la mère Ernotte, hein"....

 
La tante de Marion Maréchal Le Pen avait pourtant vu les caméras  qui la filmait à ce moment-là. 

Sur le plateau de Quotidien, Yann Barthès s'amuse de cette remarque : "La mère Ernotte va être ravie de savoir qu'on l'appelle la mère Ernotte." On n'en doute pas...

Laetitia Meslet-Recayte (MFP, FTD et FTP) déjà remplacée à France Télés.

Julien Verley qui avait créé sa boite de conseils en septembre 2016 « Julien Verley Conseils » remplace Laetitia Recayte selon l’info exclusive de « La lettre de l’Expansion » de ce 2 mai 2017.

L’ex Orange "n'a pas trainé pour trouver un successeur à Laëtitia Recayte, qui a annoncé mi-avril qu'elle quittait ses fonctions de directrice du développement commercial et membre du comité exécutif de France télévisions" annonce le titre de Presse. 

La même Lettre qui indiquait le 21 avril dernier qui que madame Meslet-Recyate  jusqu’à-là chargée par l'ex Orange de MFP, FTD et FTP (les 3 filières de France Télévisions) allait quitter France Télévisions tour devoir quitter le groupe: "Laëtitia Recayte va quitter en juin ses fonctions de directrice du développement commercial et membre du comité exécutif de France télévisions. Elle occupe ce poste à la tête de la nouvelle direction coiffant les activités rémunératrices". 

Julien Verley proche de Bertrand Meheut ancien pédégé de Canal +  qui l'avait fait venir d'Aventis en 2006 comme directeur financier au sein de la chaine cryptée pour lui confier en 2012 la direction de  Canal + Pologne la filiale polonaise, devrait donc laisser les activités conseils de sa société pour intégrer le groupe de télévision public !    

Promu : Francis Donnat le Conseiller détaché/Secrétaire général de France Télés, nommé il y a un an.


Promu : Francis Donnat le Secrétaire général de France Télés nommé il y a un an.

Alors qu’il était Maître des requêtes depuis mai 2001 (16 ans) au Conseil d’État, Francis Donnat dont l’ex Orange adoubait l’arrivée sur France Télé au poste de Secrétaire Général en avril 2016, vient d’être récemment promu Conseiller Conseil d’État. 

Une promo  « à l'ancienneté »  selon plusieurs sources. Il pourra donc rejoindre dès son départ du France Télévisions le Conseil d’État, son corps d’origine.

Il lui avait du reste déjà fait quelques infidélités en intégrant « Google » au moment même où Fleur Pellerin, elle, Conseillère référendaire à la Cour des comptes (de 2003 à 2016) était nommée ministre déléguée à l'Économie numérique, aux PME, à l'Innovation dans les deux gouvernements Ayrault du 16 mai 2012 au 2 avril 2014 puis,  secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur, du Développement du tourisme et des Français de l'étranger dans le premier gouvernement Manuel Valls, le 9 avril 2014 et enfin ministre de la Culture et de la Communication dans le deuxième gouvernement de Manuel Valls du 26 août 2014 au 11 février 2016 (*). 

Il fut respectivement « détaché » donc de son corps d’origine pour rejoindre « Google » pour quasiment à la même période y être :

“Senior policy counsel” pour Paris et sa région de septembre 2012 à décembre 2013 (1 an 4 mois) 
“Senior Policy Counsel, Head of Policy, France” de janvier 2014 à (11 mois) 
“Director, Counsel and Head of Policy, France” de novembre 2014 à avril 2016 (1 an 6 mois).

(*) C’est au moment où Fleur Pellerin est sortie du Gouvernement que la grande copine de la ministre, l’ex Orange qui lui doit indéniablement beaucoup reprend Francis Donnat qui quitte Google en qualité de  Secrétaire général de France Télés.

Lire l'article de "20 minutes": "Fleur Pellerin se réjouit de travailler avec Delphine Ernotte". 



La boucle est bouclée! Il devrait donc dans quelques temps, redisons-le, regagner  le Conseil d’État où il vient de monter en grade.

Dans un article du Monde signé Cécile Ducourtieux et intitulé « Google Influences: le lobbying habile du géant d'Internet en France » son parachutage au sein du groupe américain n’avait pas manqué alors de susciter de nombreuses réactions.

Extrait: 

« Le groupe californien s'est organisé pour s'adapter aux usages français. Des lobbyistes, souvent issus des cercles proches du pouvoir, ne ménagent pas leurs efforts pour préserver au mieux ses intérêts.

Olivier Esper avait accepté de nous recevoir au cœur de l'été, au siège de Google, un somptueux hôtel particulier du 9e arrondissement, alors que le Tout-Paris des affaires était déjà parti en vacances. Pour faire son "job" de lobbyiste, s'assurer que la journaliste du Monde avait bien "toutes les informations" pour boucler son article. Il a encore dit oui à une nouvelle rencontre, début novembre, alors que les tensions avec les éditeurs de presse redémarraient de plus belle. Toujours aussi sympathique et bien élevé. Un peu à l'image de Google, celle que le groupe semble vouloir donner de lui-même aujourd'hui en France : une multinationale, certes très puissante, mais ouverte au dialogue, responsable. 

"Dans l'Hexagone, c'est le géant de l'Internet qui fait le plus de lobbying. Et pour cause : notre pays représente une faible part de marché pour Google mais un maximum d'emmerdes", estime Giuseppe de Martino, secrétaire général de la plate-forme de vidéos Dailymotion, un concurrent de YouTube, filiale de Google le groupe californien fondé en 1998 a rencontré de fortes résistances allant en s'intensifiant…


Il y a eu la fronde judiciaire menée, à partir de 2006, par l'éditeur La Martinière, puis Hachette et le Syndicat national de l'édition. Le milieu du cinéma, toujours prêt à dégainer son "sacro-saint" droit d'auteur : Pascal Rogard, directeur général de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD), rappelant à qui veut l'entendre que c'est à Beaumarchais qu'on le doit...Il y a aussi les éditeurs de presse, qui estiment que Google devrait payer pour l'indexation de leur contenu en ligne. Sans parler de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), qui a sanctionné Google pour son service de géolocalisation Street View. C'est également de France qu'est partie l'une des plaintes qui ont poussé la Commission européenne à ouvrir une enquête antitrust sur le moteur de recherche, dont on attend toujours les conclusions. Sans parler des gouvernements, de droite comme de gauche, qui veulent lui faire payer plus d'impôts... 

Du coup, chez Google, on s'est organisé. "Leurs dirigeants ont une stratégie très bien calibrée pour la société française, ils ont compris que, dans ce vieux pays, il y a des usages qu'il est bon de respecter. Ils ont recruté des lobbyistes qui savent parler aux pouvoirs publics", selon un haut fonctionnaire, qui connaît bien la multinationale. 

Olivier Esper, leur chef, est un "X Télécom", "une personne de ce calibre à ce type de poste, c'est assez rare", note cette source. Ce corps prestigieux permet des contacts partout dans l'industrie, notamment chez les opérateurs de télécommunications, eux aussi sur la défensive : ils voudraient que Google contribue au financement de leurs réseaux.

Benoît Tabaka, recruté au printemps, est l'ex-secrétaire général du Conseil national du numérique, où il a planché sur les questions de fiscalité de l'Internet... Sa nomination a fait grincer des dents au cabinet de Fleur Pellerin. La ministre déléguée à l'économie numérique n'a pas non plus digéré l'arrivée chez Google du conseiller d'État Francis Donnat qui était jusqu’à-là détaché auprès de la Cour de justice de l'Union européenne.


"Le Conseil d’État donne un réseau incroyable : les directeurs de cabinet de l'Elysée, de Matignon, la plupart des directeurs juridiques des grands groupes en viennent", précise encore ce haut fonctionnaire…. »
 
(Pour l’intégralité de l’article, cliquez ici)

Qui est-ce qui déclarait pasplus tard que le 17 avril 2017 chez Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, avoir "toujours traqué les conflits d'intérêts" ? (¤ réponse)


(¤) Emmanuel Macron, évidemment qui ne devrait pas tarder à s’atteler à la tâche…à bon entendeur salut !  

mardi 2 mai 2017

L'accord d'intéressement remis en cause par le direction de Canal + devant le TGI de Nanterre.

Comme prévu, l'audience concernant le litige opposant les salariés de CANAL+ (via les syndicats) et la Direction du Groupe CANAL+ sur l'accord d'intéressement signé en juin 2016 s'est déroulé cet après-midi au TGI de Nanterre.

Les syndicats ont en effet saisi la Justice pour faire appliquer les termes de l'accord signé le 23 juin 2016, normalement conclu pour une durée de trois ans. 


La direction a décidé que ce dispositif ne serait finalement calculée qu'en fonction des bénéfices du groupe en France, et non plus, en y incluant ceux réalisés à l’international, comme cela  était pourtant prévu.

Canal + qui enregistre un recul du chiffre d’affaires et a perdu près de 500.000 abonnées en l'espace d'un an ainsi que quelques journalistes suite au long conflit d'ITélé comme des  animateurs comme Yann Barthès et son Petit journal version Barthès, considère  que les dispositions de l'accord doivent en conséquence être "adaptées".

Ainsi le groupe qui selon l’accord pourtant négocié, signé et déposé auprès de l’administration compétente, n'entend redistribuer que 5 à 6 fois moins en intéressement du calcul précisé dans  l'accord ( 2,5 millions seulement au lieu des 14 estimés à répartir)

Présents sur place : une dizaine de personnes représentants les plaignants (CGT, CFDT, CGC, et +Libres) et une seul côte Relations Sociales CANAL+.
L'avocat de la direction qui, dès le début de la séance, a demandé un report d'audience, sous prétexte de pièces complémentaires  apportées au dossier tardivement, n'a pas été suivie.
Pas question pour la Présidente et les deux autres juges de faire durer ce litige dont la délibération est attendue par près de 4000 salariés, d'autant plus que ledit retard est en partie causé par la transmission du dossier de la défense jeudi soir dernier uniquement. 
Les avocats côté syndicats se sont appuyés sur un argumentaire très solidement construit grâce à l'aide des experts du CE et de la commission économique visant à obtenir l'exécution immédiate du règlement du différent de l'intéressement, estimé en final par leurs experts à quelques 15 M€ (versus 1,075 !!).

La plaidoirie de l'avocat de CANAL+, elle, a tourné autour de la définition du "Groupe CANAL+" et de la non validité de l'accord d'intéressement reposant sur un Groupe CANAL qui "n'existerait pas..."!

Quelques dates à retenir :  

15 mai > date ultime pour CANAL+ de déposer les dernières pièces et retours
26 mai > date ultime de réponse de notre avocat suite au dépôt des pièces
13 juin > délibéré